Alors que le gouvernement de Julius Maada Bio prône l’ouverture économique, des ONG dénoncent un système permissif où le business de la drogue et des « faux investisseurs » prospère sous couvert d’investissements miniers. Le ministre des Affaires étrangères, Timothy Kabba, a promis un audit complet, reconnaissant que « les criminels trouvent toujours des moyens ».
Depuis la guerre civile, des individus achètent des licences minières ou des titres honorifiques pour se protéger derrière l’immunité diplomatique. Dans le même temps, le kush, une drogue locale à bas prix, continue de ravager la jeunesse. Plus de 220 morts ont été recensés depuis janvier, symbole d’une société minée par l’argent sale et l’absence de perspectives.
Pour l’activiste Ibrahim Bockarie, « ce système détruit des vies et prive notre jeunesse d’avenir ». Entre diplomatie corrompue et désespoir social, la Sierra Leone se retrouve à la croisée des chemins : restaurer la probité de l’État ou sombrer davantage dans le chaos.
Depuis la guerre civile, des individus achètent des licences minières ou des titres honorifiques pour se protéger derrière l’immunité diplomatique. Dans le même temps, le kush, une drogue locale à bas prix, continue de ravager la jeunesse. Plus de 220 morts ont été recensés depuis janvier, symbole d’une société minée par l’argent sale et l’absence de perspectives.
Pour l’activiste Ibrahim Bockarie, « ce système détruit des vies et prive notre jeunesse d’avenir ». Entre diplomatie corrompue et désespoir social, la Sierra Leone se retrouve à la croisée des chemins : restaurer la probité de l’État ou sombrer davantage dans le chaos.
Sierra Leone : quand diplomatie, drogue et corruption s’entremêlent
