Comme plusieurs cadres de l’équipe de France, dont Ibrahima Konaté ou Dayot Upamecano, Mike Maignan arrivera à un an de la fin de son contrat en janvier prochain. Une situation qui alerte fortement les dirigeants milanais, encore marqués par le traumatisme du départ libre de Gianluigi Donnarumma en 2021. Hors de question, cette fois, de revivre un scénario similaire.
Conscients de l’importance stratégique du portier de 30 ans, les dirigeants lombards ont décidé de passer à l’offensive. Selon La Gazzetta dello Sport, l’AC Milan serait prêt à consentir un effort financier significatif en proposant un nouveau contrat assorti d’un salaire de 5 millions d’euros nets par saison, auxquels s’ajouteraient diverses primes liées aux performances. Une offre qui représenterait presque un doublement de ses émoluments actuels, estimés à environ 2,8 millions d’euros nets annuels.
Mais malgré cette proposition jugée très compétitive par les standards du club, le clan Maignan ne serait pas satisfait. Toujours d’après la presse italienne, l’entourage du joueur réclamerait un salaire avoisinant les 8 millions d’euros nets par an. Une exigence jugée colossale, qui ferait de l’ancien Lillois l’un des gardiens les mieux rémunérés au monde, au-dessus de références comme Thibaut Courtois au Real Madrid, si l’on tient compte des différences fiscales entre les championnats.
Cette fermeté s’explique en grande partie par le contexte du marché. À l’approche d’une potentielle liberté contractuelle, Maignan se retrouve en position de force. Les clubs intéressés n’ayant pas à verser d’indemnité de transfert, les agents n’hésitent plus à maximiser les salaires et les primes à la signature. Un jeu auquel pourraient se prêter plusieurs cadors européens.
Ces dernières semaines, des intérêts insistants ont ainsi été évoqués du côté du Bayern Munich et de Chelsea, deux clubs à la recherche d’un gardien de très haut niveau à moyen terme. Des prétendants qui connaissent désormais les attentes financières du joueur et devront décider s’ils sont prêts à s’aligner sur de telles exigences.
Pour l’AC Milan, le compte à rebours est lancé. Soit le club accepte de revoir encore son offre à la hausse, au risque de déséquilibrer sa grille salariale, soit il s’expose à voir l’un de ses cadres majeurs préparer un départ libre, avec toutes les conséquences sportives et symboliques que cela implique.
Conscients de l’importance stratégique du portier de 30 ans, les dirigeants lombards ont décidé de passer à l’offensive. Selon La Gazzetta dello Sport, l’AC Milan serait prêt à consentir un effort financier significatif en proposant un nouveau contrat assorti d’un salaire de 5 millions d’euros nets par saison, auxquels s’ajouteraient diverses primes liées aux performances. Une offre qui représenterait presque un doublement de ses émoluments actuels, estimés à environ 2,8 millions d’euros nets annuels.
Mais malgré cette proposition jugée très compétitive par les standards du club, le clan Maignan ne serait pas satisfait. Toujours d’après la presse italienne, l’entourage du joueur réclamerait un salaire avoisinant les 8 millions d’euros nets par an. Une exigence jugée colossale, qui ferait de l’ancien Lillois l’un des gardiens les mieux rémunérés au monde, au-dessus de références comme Thibaut Courtois au Real Madrid, si l’on tient compte des différences fiscales entre les championnats.
Cette fermeté s’explique en grande partie par le contexte du marché. À l’approche d’une potentielle liberté contractuelle, Maignan se retrouve en position de force. Les clubs intéressés n’ayant pas à verser d’indemnité de transfert, les agents n’hésitent plus à maximiser les salaires et les primes à la signature. Un jeu auquel pourraient se prêter plusieurs cadors européens.
Ces dernières semaines, des intérêts insistants ont ainsi été évoqués du côté du Bayern Munich et de Chelsea, deux clubs à la recherche d’un gardien de très haut niveau à moyen terme. Des prétendants qui connaissent désormais les attentes financières du joueur et devront décider s’ils sont prêts à s’aligner sur de telles exigences.
Pour l’AC Milan, le compte à rebours est lancé. Soit le club accepte de revoir encore son offre à la hausse, au risque de déséquilibrer sa grille salariale, soit il s’expose à voir l’un de ses cadres majeurs préparer un départ libre, avec toutes les conséquences sportives et symboliques que cela implique.


Mercato: Mike Maignan pose des conditions salariales très élevées pour prolonger à l’AC Milan
