Interception et découverte des préparatifs
Alertés par un individu, des éléments de la Brigade de recherches (BR) du commissariat du 4ᵉ arrondissement de Médina, en patrouille sur la Corniche, se sont immédiatement rendus sur les lieux. Ils ont découvert une pirogue sans moteur, vide, immobilisée à une cinquantaine de mètres du rivage.
L’enquête menée sur le secteur a rapidement permis l'interpellation de dix individus, tous soupçonnés d’être des candidats à l’émigration irrégulière. La police a également découvert près de 300 litres d’essence stockés dans des fûts, confirmant les préparatifs d’une traversée maritime.
Un drame évité grâce à la mer
Interrogés par les enquêteurs, les mis en cause ont reconnu avoir quitté Joal dans la nuit du jeudi 11 décembre. La pirogue transportait initialement une quarantaine de personnes, avec l'objectif de rallier clandestinement l’Europe.
La traversée a cependant été interrompue par des vents violents et l’apparition de fissures sur l’embarcation. Ces facteurs ont contraint le groupe à accoster d’urgence à Soumbédioune, évitant un possible drame en haute mer.
Profitant de l’obscurité et de l’arrivée des forces de l’ordre, une trentaine de candidats ont réussi à prendre la fuite et à se fondre dans la nature. Un dispositif de surveillance renforcé a été déployé pour prévenir toute nouvelle tentative.
Une enquête est en cours pour identifier les organisateurs de cette traversée clandestine et retrouver les personnes en fuite.
Alertés par un individu, des éléments de la Brigade de recherches (BR) du commissariat du 4ᵉ arrondissement de Médina, en patrouille sur la Corniche, se sont immédiatement rendus sur les lieux. Ils ont découvert une pirogue sans moteur, vide, immobilisée à une cinquantaine de mètres du rivage.
L’enquête menée sur le secteur a rapidement permis l'interpellation de dix individus, tous soupçonnés d’être des candidats à l’émigration irrégulière. La police a également découvert près de 300 litres d’essence stockés dans des fûts, confirmant les préparatifs d’une traversée maritime.
Un drame évité grâce à la mer
Interrogés par les enquêteurs, les mis en cause ont reconnu avoir quitté Joal dans la nuit du jeudi 11 décembre. La pirogue transportait initialement une quarantaine de personnes, avec l'objectif de rallier clandestinement l’Europe.
La traversée a cependant été interrompue par des vents violents et l’apparition de fissures sur l’embarcation. Ces facteurs ont contraint le groupe à accoster d’urgence à Soumbédioune, évitant un possible drame en haute mer.
Profitant de l’obscurité et de l’arrivée des forces de l’ordre, une trentaine de candidats ont réussi à prendre la fuite et à se fondre dans la nature. Un dispositif de surveillance renforcé a été déployé pour prévenir toute nouvelle tentative.
Une enquête est en cours pour identifier les organisateurs de cette traversée clandestine et retrouver les personnes en fuite.


Vents violents et police: 40 migrants forcés d'abandonner leur pirogue clandestine sur la plage de Soumbédioune
