Lors de la session extraordinaire de l’Assemblée nationale du 19 septembre 2025, plusieurs députés ont mis en avant la nécessité d’une fiscalité plus stricte sur certains produits nocifs pour la santé publique. En ligne de mire : les crèmes de dépigmentation, les bouillons culinaires et les boissons sucrées.
Ces produits, très consommés au Sénégal, sont pointés du doigt comme des facteurs aggravants de maladies chroniques telles que l’hypertension, le diabète ou encore les maladies cardiovasculaires. Pour les parlementaires, une surtaxe permettrait non seulement de décourager leur consommation, mais aussi de générer de nouvelles ressources fiscales.
Les produits de dépigmentation inquiètent par leurs effets dermatologiques graves. Les bouillons culinaires, riches en sel et additifs, augmentent les risques cardiovasculaires. Quant aux boissons sucrées, elles sont associées à l’obésité et au diabète, surtout chez les jeunes.
Si certains députés soulignent l’impact potentiel sur le panier de la ménagère, d’autres insistent sur la nécessité d’une mesure de prévention et de responsabilisation des industries agroalimentaires. La concrétisation de ce projet dépendra désormais des prochaines lois de finances.
Ces produits, très consommés au Sénégal, sont pointés du doigt comme des facteurs aggravants de maladies chroniques telles que l’hypertension, le diabète ou encore les maladies cardiovasculaires. Pour les parlementaires, une surtaxe permettrait non seulement de décourager leur consommation, mais aussi de générer de nouvelles ressources fiscales.
Les produits de dépigmentation inquiètent par leurs effets dermatologiques graves. Les bouillons culinaires, riches en sel et additifs, augmentent les risques cardiovasculaires. Quant aux boissons sucrées, elles sont associées à l’obésité et au diabète, surtout chez les jeunes.
Si certains députés soulignent l’impact potentiel sur le panier de la ménagère, d’autres insistent sur la nécessité d’une mesure de prévention et de responsabilisation des industries agroalimentaires. La concrétisation de ce projet dépendra désormais des prochaines lois de finances.