Maître Massokhna Kane, leader de SOS Consommateurs, a lancé un appel vibrant à la rigueur face à la dégradation de l'ordre public à Dakar, en se concentrant sur deux problèmes majeurs : l'indiscipline nationale et la menace de la criminalité étrangère.
Soutien au déguerpissement et appel à l'encadrement
L'avocat a apporté son soutien aux récentes opérations de déguerpissement menées à Dakar, les jugeant indispensables pour assainir l’espace public. Il a dénoncé l'occupation anarchique des trottoirs, citant le quartier de Colobane où les piétons sont forcés de marcher sur la chaussée, aggravant les risques d'accidents et les embouteillages.
Bien qu'il reconnaisse la détresse économique des commerçants ambulants (« Je veux nourrir ma famille »), Maître Kane insiste sur la nécessité de distinguer la compassion du respect de la légalité. Il critique la passivité des autorités face aux refus des commerçants de s’installer sur les sites de recasement déjà identifiés. Il demande à l’État de mieux encadrer et accompagner ces populations avec des solutions viables et durables.
Indiscipline généralisée et faiblesse des sanctions
Au-delà de l’occupation des trottoirs, Maître Kane a dénoncé une indiscipline généralisée qui ronge la société sénégalaise. Il a listé de nombreux exemples, tels que :
Les charrettes sur l’autoroute.
Les motos sans casque ou les véhicules non immatriculés.
L’usage du téléphone au volant.
L'avocat affirme que les contrevenants enfreignent sciemment la loi parce qu'ils savent qu’il n’existe pas de sanctions effectives. Il conclut que « La sensibilisation ne suffira pas » et réclame une application rigoureuse de la loi.
La menace de la criminalité étrangère
Un enjeu plus grave, selon le leader de SOS Consommateurs, est l'afflux de populations étrangères problématiques. Maître Kane a dénoncé l'importation de « mondiaux, de lépreux, de charlatans et même de grands criminels ».
Il a souligné que des phénomènes comme la cybercriminalité étaient auparavant inconnus au Sénégal, mais ont été importés par des étrangers s’y consacrant depuis des ordinateurs. Il relève que l'acceptation passive par le Sénégal d'activités criminelles comme le trafic de drogues dures, la prostitution, le proxénétisme et la cybercriminalité met le pays en danger.
« Comment accepter que des gens qui, chez eux, n’osent pas faire ce qu’ils font chez vous ? »
Maître Kane critique la porosité des frontières et le manque de contrôle. Il constate que les rues de Dakar sont devenues « bondées » d’étrangers, sans qu'il y ait de réaction ferme des autorités. Il appelle à une meilleure régulation migratoire et à une protection accrue de l’ordre public sénégalais face à ces menaces criminelles croissantes.
Soutien au déguerpissement et appel à l'encadrement
L'avocat a apporté son soutien aux récentes opérations de déguerpissement menées à Dakar, les jugeant indispensables pour assainir l’espace public. Il a dénoncé l'occupation anarchique des trottoirs, citant le quartier de Colobane où les piétons sont forcés de marcher sur la chaussée, aggravant les risques d'accidents et les embouteillages.
Bien qu'il reconnaisse la détresse économique des commerçants ambulants (« Je veux nourrir ma famille »), Maître Kane insiste sur la nécessité de distinguer la compassion du respect de la légalité. Il critique la passivité des autorités face aux refus des commerçants de s’installer sur les sites de recasement déjà identifiés. Il demande à l’État de mieux encadrer et accompagner ces populations avec des solutions viables et durables.
Indiscipline généralisée et faiblesse des sanctions
Au-delà de l’occupation des trottoirs, Maître Kane a dénoncé une indiscipline généralisée qui ronge la société sénégalaise. Il a listé de nombreux exemples, tels que :
Les charrettes sur l’autoroute.
Les motos sans casque ou les véhicules non immatriculés.
L’usage du téléphone au volant.
L'avocat affirme que les contrevenants enfreignent sciemment la loi parce qu'ils savent qu’il n’existe pas de sanctions effectives. Il conclut que « La sensibilisation ne suffira pas » et réclame une application rigoureuse de la loi.
La menace de la criminalité étrangère
Un enjeu plus grave, selon le leader de SOS Consommateurs, est l'afflux de populations étrangères problématiques. Maître Kane a dénoncé l'importation de « mondiaux, de lépreux, de charlatans et même de grands criminels ».
Il a souligné que des phénomènes comme la cybercriminalité étaient auparavant inconnus au Sénégal, mais ont été importés par des étrangers s’y consacrant depuis des ordinateurs. Il relève que l'acceptation passive par le Sénégal d'activités criminelles comme le trafic de drogues dures, la prostitution, le proxénétisme et la cybercriminalité met le pays en danger.
« Comment accepter que des gens qui, chez eux, n’osent pas faire ce qu’ils font chez vous ? »
Maître Kane critique la porosité des frontières et le manque de contrôle. Il constate que les rues de Dakar sont devenues « bondées » d’étrangers, sans qu'il y ait de réaction ferme des autorités. Il appelle à une meilleure régulation migratoire et à une protection accrue de l’ordre public sénégalais face à ces menaces criminelles croissantes.
Sécurité et Ordre public : Maître Massokhna Kane alerte sur les « étrangers problématiques » et l'indiscipline à Dakar
