Saluant le thème de la session — « Mieux ensemble : plus de 80 ans au service de la paix, du développement et des droits humains » — le Premier ministre a dressé un bilan critique des huit décennies de l’ONU, parlant d’une « désillusion collective » et dénonçant la politisation des décisions, l’exclusion persistante de l’Afrique du Conseil de sécurité et l’efficacité contestée de certaines opérations de maintien de la paix.
Sur le plan intérieur, Rimtalba Jean-Emmanuel Ouédraogo a évoqué la mobilisation nationale face au terrorisme et les résultats obtenus : plus de 413 milliards de FCFA récoltés via le Fonds de Soutien Patriotique depuis 2023 et la reconquête de plus de 72 % du territoire. Il a rendu hommage aux Forces de défense et de sécurité, aux Volontaires pour la Défense de la Patrie et aux martyrs, affirmant que les priorités souveraines du Burkina Faso « ne sont pas négociables ».
Le chef du gouvernement a également présenté l’engagement du Burkina Faso dans la construction de la Confédération des États du Sahel (AES), un projet mené aux côtés du Mali et du Niger et défendu comme une démarche d’indépendance et de solidarité régionale. Il a insisté sur le fait que l’AES n’est ni repli ni fermeture, mais l’affirmation du droit à l’autodétermination, en référence aux héritages de Thomas Sankara et Patrice Lumumba.
Sur la scène internationale, le Burkina Faso a appelé à une réforme courageuse du Conseil de sécurité pour garantir à l’Afrique une représentation permanente. Le pays a dénoncé les sanctions unilatérales imposées à certains États et plaidé pour une architecture financière internationale plus équitable, respectueuse de la souveraineté des États.
En conclusion, le Premier ministre a exprimé la foi du Burkina Faso en « un multilatéralisme rénové, juste et équitable » et a lancé un message d’espérance et de dignité : « Vive l’ONU réformée et crédible ! Vive la Confédération des États du Sahel ! Vive le Burkina Faso, digne, souverain et debout ! La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons ! »
Sur le plan intérieur, Rimtalba Jean-Emmanuel Ouédraogo a évoqué la mobilisation nationale face au terrorisme et les résultats obtenus : plus de 413 milliards de FCFA récoltés via le Fonds de Soutien Patriotique depuis 2023 et la reconquête de plus de 72 % du territoire. Il a rendu hommage aux Forces de défense et de sécurité, aux Volontaires pour la Défense de la Patrie et aux martyrs, affirmant que les priorités souveraines du Burkina Faso « ne sont pas négociables ».
Le chef du gouvernement a également présenté l’engagement du Burkina Faso dans la construction de la Confédération des États du Sahel (AES), un projet mené aux côtés du Mali et du Niger et défendu comme une démarche d’indépendance et de solidarité régionale. Il a insisté sur le fait que l’AES n’est ni repli ni fermeture, mais l’affirmation du droit à l’autodétermination, en référence aux héritages de Thomas Sankara et Patrice Lumumba.
Sur la scène internationale, le Burkina Faso a appelé à une réforme courageuse du Conseil de sécurité pour garantir à l’Afrique une représentation permanente. Le pays a dénoncé les sanctions unilatérales imposées à certains États et plaidé pour une architecture financière internationale plus équitable, respectueuse de la souveraineté des États.
En conclusion, le Premier ministre a exprimé la foi du Burkina Faso en « un multilatéralisme rénové, juste et équitable » et a lancé un message d’espérance et de dignité : « Vive l’ONU réformée et crédible ! Vive la Confédération des États du Sahel ! Vive le Burkina Faso, digne, souverain et debout ! La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons ! »
La voix du Burkina Faso s’élève à l’ONU : réformes, justice et solidarité internationale
