Le consortium réunit le groupe maritime anversois Conti-Lines Group, Port of Antwerp-Bruges International, le groupe espagnol Ership et AIG Marine & Terminal du Sénégal. La société Jambaar SA a été créée pour porter ce projet ambitieux.
Avec un investissement global de 85 millions d’euros, le terminal sera entièrement rénové et modernisé pour le traitement du breakbulk et de l’agri-bulk, incluant l’installation de nouvelles grues, de bandes transporteuses et l’extension des capacités de stockage, dans l’objectif d’améliorer la performance opérationnelle et la compétitivité du port.
Automatisation et formation : les piliers du projet
Le terminal mettra l’accent sur l’automatisation des opérations et la montée en compétences des équipes locales. Des programmes de formation et de transfert de savoir-faire permettront au personnel sénégalais de développer une expertise avancée en manutention portuaire, renforçant ainsi le capital humain.
Pour Grégory Brion, co-CEO de Conti-Lines Group, le projet Jambaar reflète une coopération euro-africaine mature, alliant expertise internationale et besoins locaux pour bâtir une infrastructure durable et efficace.
Vers une connectivité régionale accrue
Le terminal servira également de hub pour des corridors maritimes reliant Dakar aux ports régionaux, notamment ceux de Kaolack et de Ziguinchor. Une troisième phase est prévue pour réhabiliter ces ports régionaux et assurer une connectivité optimale dans tout le Sénégal.
Le terminal Jambaar devrait être opérationnel dès le premier semestre 2026, consolidant ainsi le rôle du PAD comme hub logistique stratégique en Afrique de l’Ouest.
Tags : Port autonome de Dakar, PAD, investissement, terminal polyvalent, logistique maritime, Sénégal, Afrique de l’Ouest, TERANGATTIMES
Avec un investissement global de 85 millions d’euros, le terminal sera entièrement rénové et modernisé pour le traitement du breakbulk et de l’agri-bulk, incluant l’installation de nouvelles grues, de bandes transporteuses et l’extension des capacités de stockage, dans l’objectif d’améliorer la performance opérationnelle et la compétitivité du port.
Automatisation et formation : les piliers du projet
Le terminal mettra l’accent sur l’automatisation des opérations et la montée en compétences des équipes locales. Des programmes de formation et de transfert de savoir-faire permettront au personnel sénégalais de développer une expertise avancée en manutention portuaire, renforçant ainsi le capital humain.
Pour Grégory Brion, co-CEO de Conti-Lines Group, le projet Jambaar reflète une coopération euro-africaine mature, alliant expertise internationale et besoins locaux pour bâtir une infrastructure durable et efficace.
Vers une connectivité régionale accrue
Le terminal servira également de hub pour des corridors maritimes reliant Dakar aux ports régionaux, notamment ceux de Kaolack et de Ziguinchor. Une troisième phase est prévue pour réhabiliter ces ports régionaux et assurer une connectivité optimale dans tout le Sénégal.
Le terminal Jambaar devrait être opérationnel dès le premier semestre 2026, consolidant ainsi le rôle du PAD comme hub logistique stratégique en Afrique de l’Ouest.
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Dakar lance un terminal polyvalent de 85 millions d’euros avec un consortium international
