Depuis plusieurs semaines, les universités publiques du Sénégal sont secouées par de violents mouvements de grève, sur fond de revendications liées notamment au retard de paiement des bourses. Dans un communiqué rendu public, l’Alliance Pour la République (APR) a pris position sur la situation, rappelant les acquis sociaux obtenus sous le magistère de l’ancien président Macky Sall.
Le parti souligne que plusieurs avancées majeures avaient été mises en œuvre au bénéfice de la communauté universitaire. Il s’agit notamment de la revalorisation substantielle des retraites et des salaires des enseignants-chercheurs, de l’augmentation des salaires des personnels administratifs, techniques et de service (PATS), de la revalorisation des bourses des étudiants, de la construction de nouveaux pavillons universitaires ainsi que du soutien apporté au coût des tickets de restauration.
Selon l’APR, la crise actuelle trouve son origine dans la « récurrente question des bourses impayées », un thème qui, rappelle le parti, avait été largement exploité par le Pastef lorsqu’il était dans l’opposition. L’Alliance Pour la République l’accuse d’avoir instrumentalisé les revendications estudiantines à des fins politiques, allant jusqu’à transformer les campus en espaces de confrontation et de mobilisation permanente.
Aujourd’hui, l’APR estime que le Pastef aurait renié ses engagements d’hier une fois parvenu au pouvoir. Le parti dénonce un recul des libertés citoyennes, la remise en cause des franchises universitaires ainsi que l’abandon des promesses faites à la jeunesse estudiantine, considérée comme un levier essentiel du développement national.
Face à cette situation, l’Alliance Pour la République affirme son soutien aux revendications des étudiants. Son Secrétariat Exécutif National exige de l’État le paiement immédiat et inconditionnel des bourses et allocations d’études. Il appelle également à la fin de ce qu’il qualifie de « brutale répression » contre les manifestants.
Le parti souligne que plusieurs avancées majeures avaient été mises en œuvre au bénéfice de la communauté universitaire. Il s’agit notamment de la revalorisation substantielle des retraites et des salaires des enseignants-chercheurs, de l’augmentation des salaires des personnels administratifs, techniques et de service (PATS), de la revalorisation des bourses des étudiants, de la construction de nouveaux pavillons universitaires ainsi que du soutien apporté au coût des tickets de restauration.
Selon l’APR, la crise actuelle trouve son origine dans la « récurrente question des bourses impayées », un thème qui, rappelle le parti, avait été largement exploité par le Pastef lorsqu’il était dans l’opposition. L’Alliance Pour la République l’accuse d’avoir instrumentalisé les revendications estudiantines à des fins politiques, allant jusqu’à transformer les campus en espaces de confrontation et de mobilisation permanente.
Aujourd’hui, l’APR estime que le Pastef aurait renié ses engagements d’hier une fois parvenu au pouvoir. Le parti dénonce un recul des libertés citoyennes, la remise en cause des franchises universitaires ainsi que l’abandon des promesses faites à la jeunesse estudiantine, considérée comme un levier essentiel du développement national.
Face à cette situation, l’Alliance Pour la République affirme son soutien aux revendications des étudiants. Son Secrétariat Exécutif National exige de l’État le paiement immédiat et inconditionnel des bourses et allocations d’études. Il appelle également à la fin de ce qu’il qualifie de « brutale répression » contre les manifestants.


Crise universitaire: l’APR soutient les étudiants et exige le paiement immédiat des bourses
