Cette information aurait pu rester inconnue du public, le suivi des catastrophes climatiques ayant été interrompu en mai 2025 par l’administration Trump. La NOAA (Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique), qui maintient cette base de données depuis 1980, a subi d’importantes coupes budgétaires, dans un contexte de climat climatosceptique défendu par le président républicain.
Cette décision avait été vivement critiquée par les démocrates, les organisations environnementales, mais aussi par les experts en assurance et gestion des risques, qui s’appuient sur ces données pour évaluer les coûts des catastrophes climatiques.
Adam Smith, climatologue et ancien responsable de la base de données NOAA pendant 15 ans, explique que « les demandes pour son retour venaient de tous les secteurs de la société ». Depuis sa démission, il poursuit ce travail avec l’ONG Climate Central, en collaboration avec des experts en météorologie, économie et gestion des risques.
Si ce record pour le premier semestre 2025 illustre l’ampleur croissante des catastrophes naturelles, la saison des ouragans s’est jusqu’ici révélée plus douce que prévu, ce qui pourrait limiter le total annuel. Adam Smith et son équipe envisagent également d’inclure à l’avenir les catastrophes causant moins de 100 millions de dollars de dégâts, afin de mieux refléter « les répercussions sur la vie et les moyens de subsistance des populations ».
Cette décision avait été vivement critiquée par les démocrates, les organisations environnementales, mais aussi par les experts en assurance et gestion des risques, qui s’appuient sur ces données pour évaluer les coûts des catastrophes climatiques.
Adam Smith, climatologue et ancien responsable de la base de données NOAA pendant 15 ans, explique que « les demandes pour son retour venaient de tous les secteurs de la société ». Depuis sa démission, il poursuit ce travail avec l’ONG Climate Central, en collaboration avec des experts en météorologie, économie et gestion des risques.
Si ce record pour le premier semestre 2025 illustre l’ampleur croissante des catastrophes naturelles, la saison des ouragans s’est jusqu’ici révélée plus douce que prévu, ce qui pourrait limiter le total annuel. Adam Smith et son équipe envisagent également d’inclure à l’avenir les catastrophes causant moins de 100 millions de dollars de dégâts, afin de mieux refléter « les répercussions sur la vie et les moyens de subsistance des populations ».
États-Unis : plus de 101 milliards de dollars de dégâts causés par les catastrophes climatiques en 2025
