Selon l’APR, les modifications concernant notamment les ministères de la Justice, de l’Intérieur et l’architecture globale du gouvernement traduisent « l’approfondissement d’une dictature au Sénégal, assise sur le Parti-État ».
Le parti juge que ce remaniement constitue un « contre-feu » destiné à détourner l’attention des difficultés rencontrées par le gouvernement : relations avec le FMI, gestion des inondations, campagne agricole ou encore politique de l’emploi. Pour l’APR, le gouvernement Sonko 2 illustre une « gouvernance tatillonne », marquée par « l’errance des nouvelles autorités depuis 17 mois, sur fond de règlement de comptes ».
La déclaration critique également une « culture du ressentiment » et le « rêve d’une justice partisane », accusant le régime de délaisser les préoccupations quotidiennes des Sénégalais comme le chômage et la vie chère.
L’APR dénonce en outre un « kidnapping politique » de certains de ses responsables, notamment des maires de grandes agglomérations poursuivis dans des affaires de reddition des comptes, alors que « de nombreux scandales secouent la gouvernance actuelle », citant l’Asergate et l’Onasgate.
Tout en réaffirmant sa confiance aux magistrats et au système électoral, le parti appelle les forces vives de la nation à « se dresser » contre cette dérive, et exhorte l’opposition à la vigilance et à l’unité pour construire « une alternative crédible ».
Le parti juge que ce remaniement constitue un « contre-feu » destiné à détourner l’attention des difficultés rencontrées par le gouvernement : relations avec le FMI, gestion des inondations, campagne agricole ou encore politique de l’emploi. Pour l’APR, le gouvernement Sonko 2 illustre une « gouvernance tatillonne », marquée par « l’errance des nouvelles autorités depuis 17 mois, sur fond de règlement de comptes ».
La déclaration critique également une « culture du ressentiment » et le « rêve d’une justice partisane », accusant le régime de délaisser les préoccupations quotidiennes des Sénégalais comme le chômage et la vie chère.
L’APR dénonce en outre un « kidnapping politique » de certains de ses responsables, notamment des maires de grandes agglomérations poursuivis dans des affaires de reddition des comptes, alors que « de nombreux scandales secouent la gouvernance actuelle », citant l’Asergate et l’Onasgate.
Tout en réaffirmant sa confiance aux magistrats et au système électoral, le parti appelle les forces vives de la nation à « se dresser » contre cette dérive, et exhorte l’opposition à la vigilance et à l’unité pour construire « une alternative crédible ».