S’exprimant jeudi à la gare de Thiès, en marge de la cérémonie de clôture, le secrétaire général du Syndicat unique des travailleurs du rail (SUTRAIL), Babacar Guèye, a salué la volonté des nouvelles autorités de solder le passif social des retraités et du personnel en activité. Il a également évoqué le démarrage imminent des travaux préparatoires pour la mise en place d’un chemin de fer à écartement standard, présenté comme un projet structurant pour le réseau national.
Cette dynamique est renforcée par la signature récente d’un contrat d’un montant de trois milliards de francs CFA, destiné aux travaux préparatoires de réhabilitation de la voie ferrée. Pour le responsable syndical, cet engagement financier constitue un signal fort qui nourrit l’espoir des cheminots et conforte leur détermination à accompagner la relance des CFS.
La forte mobilisation observée durant les cinq jours de nettoiement des gares, ateliers et bâtiments administratifs témoigne, selon Babacar Guèye, de la compréhension des enjeux par les travailleurs et de leur disponibilité à s’inscrire dans une « nouvelle ère » du rail sénégalais.
Le secrétaire général du SUTRAIL a toutefois rappelé que les difficultés structurelles du secteur restent étroitement liées au passif social, notamment celui de l’IPRES. Il a souligné qu’un engagement a été signé, il y a deux mois, entre le ministère de tutelle, l’Agent judiciaire de l’État, l’IPRES et les représentants des cheminots concernés, ouvrant la voie à un règlement progressif des arriérés.
Tout en saluant les avancées enregistrées, Babacar Guèye a appelé les autorités à maintenir le cap. « Il n’y a plus de place pour un recul », a-t-il insisté, estimant que la mobilisation massive des cheminots constitue une preuve tangible de leur adhésion à la vision des autorités et de leur volonté de réussir la relance du chemin de fer au Sénégal.
Cette dynamique est renforcée par la signature récente d’un contrat d’un montant de trois milliards de francs CFA, destiné aux travaux préparatoires de réhabilitation de la voie ferrée. Pour le responsable syndical, cet engagement financier constitue un signal fort qui nourrit l’espoir des cheminots et conforte leur détermination à accompagner la relance des CFS.
La forte mobilisation observée durant les cinq jours de nettoiement des gares, ateliers et bâtiments administratifs témoigne, selon Babacar Guèye, de la compréhension des enjeux par les travailleurs et de leur disponibilité à s’inscrire dans une « nouvelle ère » du rail sénégalais.
Le secrétaire général du SUTRAIL a toutefois rappelé que les difficultés structurelles du secteur restent étroitement liées au passif social, notamment celui de l’IPRES. Il a souligné qu’un engagement a été signé, il y a deux mois, entre le ministère de tutelle, l’Agent judiciaire de l’État, l’IPRES et les représentants des cheminots concernés, ouvrant la voie à un règlement progressif des arriérés.
Tout en saluant les avancées enregistrées, Babacar Guèye a appelé les autorités à maintenir le cap. « Il n’y a plus de place pour un recul », a-t-il insisté, estimant que la mobilisation massive des cheminots constitue une preuve tangible de leur adhésion à la vision des autorités et de leur volonté de réussir la relance du chemin de fer au Sénégal.


Relance du rail: les cheminots appellent à consolider les acquis et à maintenir la dynamique
