Malgré sa contribution limitée aux émissions mondiales de gaz à effet de serre (4 % seulement), le continent africain subit déjà de plein fouet les conséquences du changement climatique. Chaque année, les pays africains perdent 2 à 5 % de leur PIB à cause des catastrophes naturelles. D’ici 2030, jusqu’à 118 millions de personnes parmi les plus pauvres pourraient subir les effets de sécheresses sévères, inondations et chaleurs extrêmes.
Lors de l’ouverture, Mohamed Ali Youssouf, président de l’Union africaine (UA), a insisté sur l’urgence de mobiliser des financements adaptés pour renforcer la résilience des pays africains face à ces catastrophes.
Le sommet vise également à unifier la voix du continent et à démontrer aux investisseurs et à la communauté internationale la volonté africaine d’agir pour la justice climatique. Les dirigeants africains prévoient de signer une déclaration commune en fin de rencontre.
Lors du premier sommet africain sur le climat, des engagements ambitieux avaient déjà été pris, notamment de passer de 56 à 300 gigawatts d’énergies renouvelables d’ici 2030, avec plus de 23 milliards de dollars d’investissements promis dans ce secteur.
Lors de l’ouverture, Mohamed Ali Youssouf, président de l’Union africaine (UA), a insisté sur l’urgence de mobiliser des financements adaptés pour renforcer la résilience des pays africains face à ces catastrophes.
Le sommet vise également à unifier la voix du continent et à démontrer aux investisseurs et à la communauté internationale la volonté africaine d’agir pour la justice climatique. Les dirigeants africains prévoient de signer une déclaration commune en fin de rencontre.
Lors du premier sommet africain sur le climat, des engagements ambitieux avaient déjà été pris, notamment de passer de 56 à 300 gigawatts d’énergies renouvelables d’ici 2030, avec plus de 23 milliards de dollars d’investissements promis dans ce secteur.