Des obligations pour financer le redressement
Selon le parlementaire, ce plan n’est plus une simple promesse, mais une dynamique déjà enclenchée.
Il a rappelé que le ministre des Finances, Cheikh Diba, a annoncé le lancement officiel des « diaspora bonds » le 18 septembre prochain :
« Ce sont des obligations que les Sénégalais de l’extérieur pourront acheter pour contribuer directement au financement de l’économie. Selon la formule choisie, ils pourront même percevoir des revenus », a-t-il expliqué.
Une approche thématique et territoriale
Abdoul Ahad Ndiaye a également proposé que ces titres financiers soient déclinés de manière thématique ou géographique, afin de répondre aux préférences des investisseurs de la diaspora :
« Certains pourraient choisir d’orienter leurs investissements vers Touba, Louga ou encore le monde rural », a-t-il suggéré.
Cette approche permettrait de renforcer le lien entre la diaspora et les territoires d’origine, tout en stimulant le développement local.
« Seuls nous, citoyens, pouvons construire notre pays »
Pour le député, la réussite de ce plan repose sur une implication massive de la diaspora :
« Seuls nous, citoyens, pouvons construire notre pays », a-t-il insisté, appelant à une appropriation collective du plan de redressement économique et social.
Il a enfin rappelé que ce projet appartient à tous les Sénégalais et que chacun doit contribuer selon ses moyens :
« C’est pour cette raison que les autorités effectuent des déplacements à l’extérieur et que des lois sont votées. D’autres suivront bientôt pour encadrer et dynamiser notre économie. »
Selon le parlementaire, ce plan n’est plus une simple promesse, mais une dynamique déjà enclenchée.
Il a rappelé que le ministre des Finances, Cheikh Diba, a annoncé le lancement officiel des « diaspora bonds » le 18 septembre prochain :
« Ce sont des obligations que les Sénégalais de l’extérieur pourront acheter pour contribuer directement au financement de l’économie. Selon la formule choisie, ils pourront même percevoir des revenus », a-t-il expliqué.
Une approche thématique et territoriale
Abdoul Ahad Ndiaye a également proposé que ces titres financiers soient déclinés de manière thématique ou géographique, afin de répondre aux préférences des investisseurs de la diaspora :
« Certains pourraient choisir d’orienter leurs investissements vers Touba, Louga ou encore le monde rural », a-t-il suggéré.
Cette approche permettrait de renforcer le lien entre la diaspora et les territoires d’origine, tout en stimulant le développement local.
« Seuls nous, citoyens, pouvons construire notre pays »
Pour le député, la réussite de ce plan repose sur une implication massive de la diaspora :
« Seuls nous, citoyens, pouvons construire notre pays », a-t-il insisté, appelant à une appropriation collective du plan de redressement économique et social.
Il a enfin rappelé que ce projet appartient à tous les Sénégalais et que chacun doit contribuer selon ses moyens :
« C’est pour cette raison que les autorités effectuent des déplacements à l’extérieur et que des lois sont votées. D’autres suivront bientôt pour encadrer et dynamiser notre économie. »