La situation reste tendue entre les étudiants en Master et les forces de l’ordre, après une nouvelle journée de protestations liées au retard de 13 mois dans le paiement des bourses. Depuis hier, les manifestations se multiplient sur le campus pédagogique comme sur le campus social, où les étudiants affirment vouloir faire valoir une revendication qu’ils jugent « légitime ».
Jets de pierres, routes barricadées, heurts avec les forces de sécurité… La tension est montée d’un cran ce matin encore, perturbant fortement la circulation des personnes et des biens dans les environs de l’université.
Au campus social, les affrontements ont pris de l’ampleur. Les forces de l’ordre ont riposté par des grenades lacrymogènes, tandis que des groupes d’étudiants continuaient leurs jets intermittents de pierres.
Selon plusieurs étudiants interrogés, le communiqué publié par la Direction des bourses n’a pas suffi à calmer la colère.
Les protestataires affirment qu’ils continueront leur mouvement tant qu’aucune solution concrète et immédiate n’aura été apportée au paiement des arriérés. La situation reste volatile et nécessite, selon eux, une intervention rapide des autorités pour éviter une escalade.
Jets de pierres, routes barricadées, heurts avec les forces de sécurité… La tension est montée d’un cran ce matin encore, perturbant fortement la circulation des personnes et des biens dans les environs de l’université.
Au campus social, les affrontements ont pris de l’ampleur. Les forces de l’ordre ont riposté par des grenades lacrymogènes, tandis que des groupes d’étudiants continuaient leurs jets intermittents de pierres.
Selon plusieurs étudiants interrogés, le communiqué publié par la Direction des bourses n’a pas suffi à calmer la colère.
Les protestataires affirment qu’ils continueront leur mouvement tant qu’aucune solution concrète et immédiate n’aura été apportée au paiement des arriérés. La situation reste volatile et nécessite, selon eux, une intervention rapide des autorités pour éviter une escalade.


Tensions à l’université: les étudiants en Master protestent contre 13 mois d’arriérés de bourses
