Le 1er octobre 2025 marquait une étape clé pour la mise en œuvre du volet sécuritaire de l’accord signé à Washington entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda. Cet accord, soutenu par le président américain Donald Trump, devait ouvrir une nouvelle page dans les relations tendues entre les deux pays voisins.
Cependant, sur le terrain, la méfiance reste vive. À l’Est de la RDC, les populations du Kivu continuent de subir l’insécurité, tandis que Kigali redoute un manque d’engagement réel de Kinshasa. Les promesses formulées dans les bureaux feutrés de Washington peinent ainsi à se confronter aux réalités locales.
Lors de son discours à l’Assemblée générale des Nations unies le 23 septembre, Donald Trump avait affirmé avoir « mis un terme à sept guerres en sept mois », vantant ses efforts de médiation internationale. Mais les observateurs s’interrogent : ces annonces traduisent-elles un véritable changement sur le terrain ou relèvent-elles surtout d’un effet d’annonce ?
La photo prise le 27 juin dernier dans le Bureau ovale, où Donald Trump posait aux côtés de Thérèse Kayikwamba Wagner, ministre congolaise des Affaires étrangères, et de son homologue rwandais Olivier Nduhungirehe, reste pour l’instant le symbole d’une paix encore fragile.
L’avenir dira si cet accord parrainé par Washington pourra réellement ramener la stabilité dans la région des Grands Lacs ou s’il rejoindra la longue liste des tentatives avortées de médiation.
Cependant, sur le terrain, la méfiance reste vive. À l’Est de la RDC, les populations du Kivu continuent de subir l’insécurité, tandis que Kigali redoute un manque d’engagement réel de Kinshasa. Les promesses formulées dans les bureaux feutrés de Washington peinent ainsi à se confronter aux réalités locales.
Lors de son discours à l’Assemblée générale des Nations unies le 23 septembre, Donald Trump avait affirmé avoir « mis un terme à sept guerres en sept mois », vantant ses efforts de médiation internationale. Mais les observateurs s’interrogent : ces annonces traduisent-elles un véritable changement sur le terrain ou relèvent-elles surtout d’un effet d’annonce ?
La photo prise le 27 juin dernier dans le Bureau ovale, où Donald Trump posait aux côtés de Thérèse Kayikwamba Wagner, ministre congolaise des Affaires étrangères, et de son homologue rwandais Olivier Nduhungirehe, reste pour l’instant le symbole d’une paix encore fragile.
L’avenir dira si cet accord parrainé par Washington pourra réellement ramener la stabilité dans la région des Grands Lacs ou s’il rejoindra la longue liste des tentatives avortées de médiation.
RDC – Rwanda : les promesses fragiles de paix soutenues par Donald Trump
