Cet extrait, pourtant anodin dans le récit de la tournée, a suffi à provoquer une vague de réactions virulentes en ligne. Sur les réseaux sociaux, certains internautes ont accusé la chanteuse d’être « sioniste » et de chercher à « humaniser » Israël par cette simple mention. Des appels au boycott ont même émergé, invitant les fans à se désabonner et à cesser tout soutien à l’artiste.
La polémique intervient alors que Taylor Swift s’est toujours montrée extrêmement prudente sur les questions géopolitiques sensibles. Depuis le début du conflit à Gaza, la chanteuse n’a formulé aucune prise de position publique directe. Ses engagements politiques connus se concentrent essentiellement sur la défense des droits LGBTQ+ et sur ses oppositions assumées à certaines figures politiques américaines, notamment Donald Trump.
Malgré cette réserve, la star n’a pas échappé aux critiques. Certains militants pro-palestiniens lui reprochent également son silence face à des campagnes en ligne appelant à un engagement plus clair, estimant que ses gestes passés en faveur de l’aide humanitaire à Gaza ne vont pas assez loin. Une exigence de positionnement que Taylor Swift, fidèle à sa ligne de conduite, n’a pas souhaité satisfaire.
La série documentaire revient par ailleurs sur des moments particulièrement sombres de l’Eras Tour. La chanteuse y évoque notamment un projet d’attentat déjoué à Vienne, qui avait entraîné l’annulation de plusieurs concerts à guichets fermés. Elle partage aussi des séquences chargées d’émotion, notamment après sa rencontre avec les familles de victimes d’une attaque au couteau survenue au Royaume-Uni lors d’un événement lié à son univers artistique.
En dépit de l’acharnement d’une minorité très active sur les réseaux sociaux, la majorité des fans continue de soutenir l’artiste. Pour de nombreux « Swifties », la série reste avant tout le témoignage d’une carrière exceptionnelle et d’une tournée historique, sans lecture politique cachée. La controverse, aussi bruyante soit-elle en ligne, ne semble pour l’instant pas ébranler durablement le lien entre Taylor Swift et son public.
La polémique intervient alors que Taylor Swift s’est toujours montrée extrêmement prudente sur les questions géopolitiques sensibles. Depuis le début du conflit à Gaza, la chanteuse n’a formulé aucune prise de position publique directe. Ses engagements politiques connus se concentrent essentiellement sur la défense des droits LGBTQ+ et sur ses oppositions assumées à certaines figures politiques américaines, notamment Donald Trump.
Malgré cette réserve, la star n’a pas échappé aux critiques. Certains militants pro-palestiniens lui reprochent également son silence face à des campagnes en ligne appelant à un engagement plus clair, estimant que ses gestes passés en faveur de l’aide humanitaire à Gaza ne vont pas assez loin. Une exigence de positionnement que Taylor Swift, fidèle à sa ligne de conduite, n’a pas souhaité satisfaire.
La série documentaire revient par ailleurs sur des moments particulièrement sombres de l’Eras Tour. La chanteuse y évoque notamment un projet d’attentat déjoué à Vienne, qui avait entraîné l’annulation de plusieurs concerts à guichets fermés. Elle partage aussi des séquences chargées d’émotion, notamment après sa rencontre avec les familles de victimes d’une attaque au couteau survenue au Royaume-Uni lors d’un événement lié à son univers artistique.
En dépit de l’acharnement d’une minorité très active sur les réseaux sociaux, la majorité des fans continue de soutenir l’artiste. Pour de nombreux « Swifties », la série reste avant tout le témoignage d’une carrière exceptionnelle et d’une tournée historique, sans lecture politique cachée. La controverse, aussi bruyante soit-elle en ligne, ne semble pour l’instant pas ébranler durablement le lien entre Taylor Swift et son public.


Polémique autour de Taylor Swift après une référence à Israël dans sa nouvelle série documentaire
