
L’interpellation du ministre de la Justice, Ousmane Diagne par la députée Marième Mbacké a soulevé un enjeu de taille concernant l’autorité parentale au Sénégal. Actuellement réservée exclusivement au père, cette disposition légale pose de réelles difficultés aux mères divorcées ayant la garde de leurs enfants, notamment en matière de déplacements à l’étranger.
Cependant, la Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal crache sur cette loi qui est appelée à être votée à l’assemblée nationale.
Imam Ahmed Dame Ndiaye, Président de la Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal, s’insurge contre une telle loi et invite l’assemblée nationale à la vigilance.
Au Sénégal, plusieurs femmes ont estimé que la révision du Code de la famille afin d’instaurer un partage plus équilibré de l’autorité parentale est un impératif. Mais, il ne s’agit pas selon elles, d’une remise en cause le rôle du père en tant qu’autorité morale au sein de la famille.
Cependant, la Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal crache sur cette loi qui est appelée à être votée à l’assemblée nationale.
Imam Ahmed Dame Ndiaye, Président de la Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal, s’insurge contre une telle loi et invite l’assemblée nationale à la vigilance.
Au Sénégal, plusieurs femmes ont estimé que la révision du Code de la famille afin d’instaurer un partage plus équilibré de l’autorité parentale est un impératif. Mais, il ne s’agit pas selon elles, d’une remise en cause le rôle du père en tant qu’autorité morale au sein de la famille.