Dans une publication sur sa page Facebook, l’élue a affirmé sa détermination à aller au-delà des discours.
« Soyez rassurés que, dès la rentrée parlementaire, je soumettrai des propositions de loi à mon groupe parlementaire (Pastef/Les Patriotes) qui en évaluera la pertinence. L’objectif : criminaliser le détournement de deniers publics, mais surtout permettre la saisie automatique de tout bien appartenant à toute personne qui fuit ou refuse de répondre à la justice », a-t-elle écrit.
Maimouna Bousso se montre également critique envers la distribution jugée excessive des mandats de placement sous contrôle judiciaire ou de surveillance électronique pour les personnes poursuivies pour détournement de fonds publics. Selon elle, cette approche trop clémente affaiblit la crédibilité de la justice et nourrit le sentiment d’injustice sociale.
Cette déclaration intervient dans un contexte marqué par la saisie des biens du journaliste Madiambal Diagne, déclaré fugitif et visé par un mandat d’arrêt international, sur décision du juge du Pool judiciaire financier. Maimouna Bousso avait déjà salué cette mesure dans un précédent message publié le 27 septembre.
Réaffirmant sa position lors de la rentrée parlementaire 2025-2026, le 15 octobre dernier, la députée a insisté sur la nécessité de réformes structurelles pour consolider la stabilité du pays et restaurer la confiance dans la justice.
« Cette réforme s’impose pour la stabilité du Sénégal et la restauration d’une justice crédible et équitable », a-t-elle souligné.
Ces propositions pourraient ouvrir une nouvelle étape dans la lutte contre l’impunité et redéfinir le cadre juridique de la gouvernance publique au Sénégal.
« Soyez rassurés que, dès la rentrée parlementaire, je soumettrai des propositions de loi à mon groupe parlementaire (Pastef/Les Patriotes) qui en évaluera la pertinence. L’objectif : criminaliser le détournement de deniers publics, mais surtout permettre la saisie automatique de tout bien appartenant à toute personne qui fuit ou refuse de répondre à la justice », a-t-elle écrit.
Maimouna Bousso se montre également critique envers la distribution jugée excessive des mandats de placement sous contrôle judiciaire ou de surveillance électronique pour les personnes poursuivies pour détournement de fonds publics. Selon elle, cette approche trop clémente affaiblit la crédibilité de la justice et nourrit le sentiment d’injustice sociale.
Cette déclaration intervient dans un contexte marqué par la saisie des biens du journaliste Madiambal Diagne, déclaré fugitif et visé par un mandat d’arrêt international, sur décision du juge du Pool judiciaire financier. Maimouna Bousso avait déjà salué cette mesure dans un précédent message publié le 27 septembre.
Réaffirmant sa position lors de la rentrée parlementaire 2025-2026, le 15 octobre dernier, la députée a insisté sur la nécessité de réformes structurelles pour consolider la stabilité du pays et restaurer la confiance dans la justice.
« Cette réforme s’impose pour la stabilité du Sénégal et la restauration d’une justice crédible et équitable », a-t-elle souligné.
Ces propositions pourraient ouvrir une nouvelle étape dans la lutte contre l’impunité et redéfinir le cadre juridique de la gouvernance publique au Sénégal.
Lutte contre la corruption : Maimouna Bousso prépare une réforme pour criminaliser le détournement de deniers publics
