Cette annonce intervient après l’ultimatum de 24 heures lancé par Donald Trump au mouvement islamiste palestinien pour se prononcer sur la proposition de trêve, dans un contexte de pression diplomatique croissante.
Pendant ce temps, les bombardements israéliens se sont poursuivis sans relâche dans la bande de Gaza, toujours sous blocus humanitaire sévère. D’après les services de la Défense civile palestinienne, 52 personnes ont été tuées en 24 heures, dont 11 près de sites d’aide humanitaire.
Les frappes intensives continuent d’aggraver la situation humanitaire déjà dramatique dans l’enclave palestinienne, avec des infrastructures détruites, un accès limité à l’eau, à l’électricité et aux soins médicaux, et des centaines de milliers de déplacés.
Les regards restent désormais tournés vers les efforts des médiateurs internationaux pour obtenir une trêve effective, alors que l’escalade militaire entre le Hamas et Israël continue de faire des victimes civiles.