Pour l’APPEL, la décision est “incompréhensible” et constitue une faute grave. Le syndicat rappelle que le dispositif avait déjà été dénoncé pour ses dysfonctionnements majeurs, qui avaient conduit à l’exclusion injuste de plusieurs médias lors d’un précédent processus.
Des accusations de manquements et de dépassements de compétence
Selon l’APPEL, la Direction de la Communication avait reconnu l’existence d’“erreurs” liées à la plateforme. Le fait de l’utiliser à nouveau serait donc, selon eux, une remise en cause de la transparence et de l’équité du processus.
L’organisation accuse également le ministère de s’arroger des prérogatives illégales, notamment en cherchant à financer des entités jugées inéligibles telles que la RTS et la Maison de la Presse, en violation du décret régissant le FADP.
Autre grief majeur : la mise à l’écart du Conseil de gestion du FADP, pourtant censé superviser ce mécanisme d’attribution.
L’appel veut saisir la commission de protection des données personnelles
L’APPEL évoque aussi de possibles violations de la loi sur les données personnelles dans l’utilisation de la plateforme DMS.
Face à cette situation, l’organisation annonce son intention de saisir la Commission de Protection des Données Personnelles (CDP) pour faire respecter la légalité et exiger la suspension immédiate de la procédure.
L’affaire pourrait ainsi ouvrir un nouveau front juridique et institutionnel autour de la gestion du FADP, un mécanisme essentiel pour le soutien économique des médias sénégalais.
Des accusations de manquements et de dépassements de compétence
Selon l’APPEL, la Direction de la Communication avait reconnu l’existence d’“erreurs” liées à la plateforme. Le fait de l’utiliser à nouveau serait donc, selon eux, une remise en cause de la transparence et de l’équité du processus.
L’organisation accuse également le ministère de s’arroger des prérogatives illégales, notamment en cherchant à financer des entités jugées inéligibles telles que la RTS et la Maison de la Presse, en violation du décret régissant le FADP.
Autre grief majeur : la mise à l’écart du Conseil de gestion du FADP, pourtant censé superviser ce mécanisme d’attribution.
L’appel veut saisir la commission de protection des données personnelles
L’APPEL évoque aussi de possibles violations de la loi sur les données personnelles dans l’utilisation de la plateforme DMS.
Face à cette situation, l’organisation annonce son intention de saisir la Commission de Protection des Données Personnelles (CDP) pour faire respecter la légalité et exiger la suspension immédiate de la procédure.
L’affaire pourrait ainsi ouvrir un nouveau front juridique et institutionnel autour de la gestion du FADP, un mécanisme essentiel pour le soutien économique des médias sénégalais.


FADP: l’APPEL dénonce des “violations légales gravissimes” et menace de saisir la CDP
