
L’agence attribue ce recul à la diminution des effectifs dans le secteur de la construction, estimée à –8,4 %, bien que cette baisse ait été partiellement compensée par une hausse de 1,8 % dans le commerce et 0,2 % dans les services.
Emploi : stabilité et prédominance des permanents
Les employés permanents représentent 76,5 % des travailleurs du secteur moderne, un taux quasi stable par rapport à l’année précédente.
Certains sous-secteurs enregistrent toutefois une forte présence de saisonniers, notamment :
les services de soutien et de bureau (43,7 %),
les industries extractives (41,5 %),
l’enseignement (41,3 %),
la construction (34,6 %).
Du point de vue socioprofessionnel, les ouvriers dominent le paysage du secteur moderne, représentant 48,1 % des permanents, suivis des techniciens et ouvriers qualifiés (37,6 %). Les cadres supérieurs et techniciens supérieurs restent minoritaires, avec respectivement 7,4 % et 7 %.
Les ouvriers sont particulièrement nombreux dans la construction (65,8 %), le commerce (46,6 %) et plusieurs sous-secteurs des services, notamment l’hébergement, la restauration et les activités artistiques et sportives.
Répartition par genre : la prédominance masculine persiste
Les hommes représentent 74,5 % des employés permanents dans le secteur moderne hors administration publique.
Toutefois, la présence féminine reste significative dans les services (37,8 %), en particulier dans :
la santé humaine et l’action sociale (48,5 %),
l’enseignement (46,8 %),
les activités financières et d’assurance (45 %),
les activités spécialisées, scientifiques et techniques (41,5 %).
Rémunérations : hausse de 1 % sur un an
La masse salariale globale du secteur moderne atteint 387,9 milliards FCFA au deuxième trimestre 2025, contre 384,2 milliards FCFA un an plus tôt, soit une progression de 1 %.
Cette augmentation est portée par :
une hausse de 2,5 % dans l’industrie, notamment grâce aux activités extractives (+18,7 %) ;
une progression de 1,3 % dans les services, tirée par les activités artistiques et sportives (+12 %), l’information et la communication (+9,6 %) et les activités immobilières (+6,8 %).
En revanche, les rémunérations ont reculé dans la construction (–3,2 %) et le commerce (–1,6 %).
Durée de travail : légère hausse des heures hebdomadaires
La durée moyenne hebdomadaire travaillée s’établit à 41,5 heures, contre 41,4 heures un an plus tôt, soit une hausse de 0,2 %.
Cette évolution est principalement liée à la hausse de 2,7 % des heures travaillées dans l’industrie, malgré des diminutions observées dans la construction (–0,9 %), le commerce (–0,6 %) et les services (–0,4 %).
En résumé
🔹 L’emploi dans le secteur moderne recule légèrement (–0,4 %)
🔹 Les permanents restent majoritaires (76,5 %)
🔹 Les ouvriers représentent près de la moitié des employés
🔹 Les femmes gagnent du terrain dans les services
🔹 La masse salariale progresse (+1 %) malgré des disparités sectorielles
🔹 Les heures travaillées augmentent légèrement (+0,2 %)
Emploi : stabilité et prédominance des permanents
Les employés permanents représentent 76,5 % des travailleurs du secteur moderne, un taux quasi stable par rapport à l’année précédente.
Certains sous-secteurs enregistrent toutefois une forte présence de saisonniers, notamment :
les services de soutien et de bureau (43,7 %),
les industries extractives (41,5 %),
l’enseignement (41,3 %),
la construction (34,6 %).
Du point de vue socioprofessionnel, les ouvriers dominent le paysage du secteur moderne, représentant 48,1 % des permanents, suivis des techniciens et ouvriers qualifiés (37,6 %). Les cadres supérieurs et techniciens supérieurs restent minoritaires, avec respectivement 7,4 % et 7 %.
Les ouvriers sont particulièrement nombreux dans la construction (65,8 %), le commerce (46,6 %) et plusieurs sous-secteurs des services, notamment l’hébergement, la restauration et les activités artistiques et sportives.
Répartition par genre : la prédominance masculine persiste
Les hommes représentent 74,5 % des employés permanents dans le secteur moderne hors administration publique.
Toutefois, la présence féminine reste significative dans les services (37,8 %), en particulier dans :
la santé humaine et l’action sociale (48,5 %),
l’enseignement (46,8 %),
les activités financières et d’assurance (45 %),
les activités spécialisées, scientifiques et techniques (41,5 %).
Rémunérations : hausse de 1 % sur un an
La masse salariale globale du secteur moderne atteint 387,9 milliards FCFA au deuxième trimestre 2025, contre 384,2 milliards FCFA un an plus tôt, soit une progression de 1 %.
Cette augmentation est portée par :
une hausse de 2,5 % dans l’industrie, notamment grâce aux activités extractives (+18,7 %) ;
une progression de 1,3 % dans les services, tirée par les activités artistiques et sportives (+12 %), l’information et la communication (+9,6 %) et les activités immobilières (+6,8 %).
En revanche, les rémunérations ont reculé dans la construction (–3,2 %) et le commerce (–1,6 %).
Durée de travail : légère hausse des heures hebdomadaires
La durée moyenne hebdomadaire travaillée s’établit à 41,5 heures, contre 41,4 heures un an plus tôt, soit une hausse de 0,2 %.
Cette évolution est principalement liée à la hausse de 2,7 % des heures travaillées dans l’industrie, malgré des diminutions observées dans la construction (–0,9 %), le commerce (–0,6 %) et les services (–0,4 %).
En résumé
🔹 L’emploi dans le secteur moderne recule légèrement (–0,4 %)
🔹 Les permanents restent majoritaires (76,5 %)
🔹 Les ouvriers représentent près de la moitié des employés
🔹 Les femmes gagnent du terrain dans les services
🔹 La masse salariale progresse (+1 %) malgré des disparités sectorielles
🔹 Les heures travaillées augmentent légèrement (+0,2 %)