Réduire l’empreinte carbone du transport aérien
Selon le Dr Diaga Basse, directeur général de l’ANACIM, la transition vers des carburants non fossiles constitue un enjeu majeur pour réduire l’empreinte carbone du secteur aérien, responsable de 2 à 3 % des émissions mondiales de CO₂. L’introduction des SAF pourrait représenter jusqu’à 65 % des efforts nécessaires pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.
Double intérêt : environnement et économie
Au-delà de l’impact environnemental, cette initiative présente un double intérêt :
Conformité avec le programme Corsia de l’OACI et les engagements climatiques du Sénégal
Potentiel économique grâce à une production locale exploitant la biomasse, résidus agricoles, huiles usagées et autres énergies renouvelables
Le ministre des Transports terrestres et aériens, Yankhoba Diémé, a qualifié cette initiative d’« opportunité historique » pour le Sénégal, soulignant la nécessité d’études rigoureuses et d’un renforcement des capacités nationales.
Un pas stratégique pour le Sénégal
Avec cette étude, le Sénégal se positionne comme acteur engagé de la transition énergétique dans le secteur aérien, misant sur une innovation durable qui allie protection de l’environnement et perspectives économiques locales.
Selon le Dr Diaga Basse, directeur général de l’ANACIM, la transition vers des carburants non fossiles constitue un enjeu majeur pour réduire l’empreinte carbone du secteur aérien, responsable de 2 à 3 % des émissions mondiales de CO₂. L’introduction des SAF pourrait représenter jusqu’à 65 % des efforts nécessaires pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.
Double intérêt : environnement et économie
Au-delà de l’impact environnemental, cette initiative présente un double intérêt :
Conformité avec le programme Corsia de l’OACI et les engagements climatiques du Sénégal
Potentiel économique grâce à une production locale exploitant la biomasse, résidus agricoles, huiles usagées et autres énergies renouvelables
Le ministre des Transports terrestres et aériens, Yankhoba Diémé, a qualifié cette initiative d’« opportunité historique » pour le Sénégal, soulignant la nécessité d’études rigoureuses et d’un renforcement des capacités nationales.
Un pas stratégique pour le Sénégal
Avec cette étude, le Sénégal se positionne comme acteur engagé de la transition énergétique dans le secteur aérien, misant sur une innovation durable qui allie protection de l’environnement et perspectives économiques locales.