Cette rencontre intervient alors que les responsables de la défense européens et ukrainiens se retrouvent à Bruxelles pour une série d’échanges axés sur la sécurité collective et les perspectives de négociations.
Paris et Kyiv plaident pour une paix “juste et durable”
Avant la rencontre, l’Élysée a indiqué que les deux présidents discuteraient des conditions nécessaires à l’établissement d’une « paix juste et durable ».
De son côté, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déclaré dans La Tribune Dimanche que l’objectif était « de faire avancer les négociations », ajoutant que « la paix est à portée de main si Vladimir Poutine renonce à son espoir délirant de reconstituer un empire soviétique en commençant par soumettre l’Ukraine ».
L’Union européenne met en garde contre tout accord au détriment de l’Ukraine
À Bruxelles, où les ministres de la Défense de l’Union européenne étaient réunis avec le ministre ukrainien Denys Shmyhal, les partenaires européens ont insisté sur la nécessité d’un accord excluant toute concession territoriale à la Russie.
Selon le journaliste Hashem Alhelbarra, les États membres craignent également qu’un éventuel accord prévoyant une « amnistie générale » n’empêche la poursuite judiciaire des responsables russes impliqués dans des crimes commis en Ukraine.
Concertation internationale accrue
Parallèlement, Volodymyr Zelenskyy a indiqué sur les réseaux sociaux avoir échangé avec le président finlandais Alexander Stubb au sujet des « signaux reçus du côté américain », après des discussions tenues dimanche en Floride entre négociateurs ukrainiens et américains.
Le dirigeant ukrainien a également confirmé des discussions avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le secrétaire général de l’OTAN Mark Rutte, soulignant « l’importance de ces jours où beaucoup de choses peuvent évoluer ».
Paris et Kyiv plaident pour une paix “juste et durable”
Avant la rencontre, l’Élysée a indiqué que les deux présidents discuteraient des conditions nécessaires à l’établissement d’une « paix juste et durable ».
De son côté, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déclaré dans La Tribune Dimanche que l’objectif était « de faire avancer les négociations », ajoutant que « la paix est à portée de main si Vladimir Poutine renonce à son espoir délirant de reconstituer un empire soviétique en commençant par soumettre l’Ukraine ».
L’Union européenne met en garde contre tout accord au détriment de l’Ukraine
À Bruxelles, où les ministres de la Défense de l’Union européenne étaient réunis avec le ministre ukrainien Denys Shmyhal, les partenaires européens ont insisté sur la nécessité d’un accord excluant toute concession territoriale à la Russie.
Selon le journaliste Hashem Alhelbarra, les États membres craignent également qu’un éventuel accord prévoyant une « amnistie générale » n’empêche la poursuite judiciaire des responsables russes impliqués dans des crimes commis en Ukraine.
Concertation internationale accrue
Parallèlement, Volodymyr Zelenskyy a indiqué sur les réseaux sociaux avoir échangé avec le président finlandais Alexander Stubb au sujet des « signaux reçus du côté américain », après des discussions tenues dimanche en Floride entre négociateurs ukrainiens et américains.
Le dirigeant ukrainien a également confirmé des discussions avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le secrétaire général de l’OTAN Mark Rutte, soulignant « l’importance de ces jours où beaucoup de choses peuvent évoluer ».


Zelenskyy rencontre Macron à Paris pour relancer les efforts diplomatiques autour de la guerre en Ukraine
