Les recettes fiscales constituent la principale source de cette croissance, avec un montant projeté de 5 384,8 milliards de FCFA, soutenu par les retombées du Programme de Résilience Économique et Sociale (PRES), évaluées à 703,6 milliards de FCFA.
Le taux de pression fiscale atteindrait ainsi 23,2 %, un niveau record pour le pays.
Sur le plan des dépenses, le gouvernement table sur un volume total de 7 433,9 milliards de FCFA, en progression de 12,4 %. Le déficit budgétaire global est projeté à 5,37 % du PIB, avec une trajectoire de retour à 3 % en 2027, conformément aux critères de convergence de l’UEMOA.
Le service de la dette s’élèverait à 1 190,6 milliards de FCFA, en hausse de 258,5 milliards, tandis que le besoin de financement total atteindrait 6 075,2 milliards, dont 71 % destinés au remboursement du principal.
Le texte met l’accent sur une meilleure allocation des ressources publiques. Les dépenses de fonctionnement devraient diminuer de 280,5 milliards, tandis que les investissements en capital sur ressources internes progresseraient de 568,9 milliards, pour atteindre 1 448,9 milliards de FCFA.
Cette réorientation traduit la volonté du gouvernement de concilier discipline budgétaire et relance économique, tout en préservant les équilibres macroéconomiques.
Le taux de pression fiscale atteindrait ainsi 23,2 %, un niveau record pour le pays.
Sur le plan des dépenses, le gouvernement table sur un volume total de 7 433,9 milliards de FCFA, en progression de 12,4 %. Le déficit budgétaire global est projeté à 5,37 % du PIB, avec une trajectoire de retour à 3 % en 2027, conformément aux critères de convergence de l’UEMOA.
Le service de la dette s’élèverait à 1 190,6 milliards de FCFA, en hausse de 258,5 milliards, tandis que le besoin de financement total atteindrait 6 075,2 milliards, dont 71 % destinés au remboursement du principal.
Le texte met l’accent sur une meilleure allocation des ressources publiques. Les dépenses de fonctionnement devraient diminuer de 280,5 milliards, tandis que les investissements en capital sur ressources internes progresseraient de 568,9 milliards, pour atteindre 1 448,9 milliards de FCFA.
Cette réorientation traduit la volonté du gouvernement de concilier discipline budgétaire et relance économique, tout en préservant les équilibres macroéconomiques.
Sénégal – LFI 2026 : les recettes projetées à 6 188,8 milliards FCFA, en hausse de 23,4 %