Sale temps pour la voyante Aïssatou Penda Diop, accusée par le commerçant Modou Yade de diffamation publique. L’affaire a éclaté lorsqu’elle a été dénoncée à la Division spéciale de cybersécurité (DSC), vidéos à l’appui.
Selon la plainte, lors d’un direct sur TikTok, la voyante aurait affiché la photo de Modou Yade en l’accusant d’avoir assassiné son ex-femme, Lissa Tine, mystérieusement disparue il y a six ans. Pire encore, elle aurait appelé les internautes à « l’attaquer violemment ».
Dans un premier temps, Aïssatou Penda Diop avait refusé de répondre à la convocation de la police, estimant les accusations infondées. Mais elle a fini par se présenter à la DSC, où elle a reconnu les faits sans détour. Elle a présenté ses excuses, affirmant avoir agi sous le coup de la colère.
Remise en liberté après son audition, elle a été de nouveau convoquée ce vendredi et immédiatement déférée au Tribunal de Grande Instance hors classe de Dakar.
D’après les informations de Seneweb, elle est poursuivie pour:
- discours contraires aux bonnes mœurs,
- diffusion de données personnelles,
- injures et diffamation,
- calomnie,
- mise en danger de la vie d’autrui via un système informatique.
L’affaire sera suivie de près tant elle soulève la question de la responsabilité des influenceurs sur les réseaux sociaux.
Selon la plainte, lors d’un direct sur TikTok, la voyante aurait affiché la photo de Modou Yade en l’accusant d’avoir assassiné son ex-femme, Lissa Tine, mystérieusement disparue il y a six ans. Pire encore, elle aurait appelé les internautes à « l’attaquer violemment ».
Dans un premier temps, Aïssatou Penda Diop avait refusé de répondre à la convocation de la police, estimant les accusations infondées. Mais elle a fini par se présenter à la DSC, où elle a reconnu les faits sans détour. Elle a présenté ses excuses, affirmant avoir agi sous le coup de la colère.
Remise en liberté après son audition, elle a été de nouveau convoquée ce vendredi et immédiatement déférée au Tribunal de Grande Instance hors classe de Dakar.
D’après les informations de Seneweb, elle est poursuivie pour:
- discours contraires aux bonnes mœurs,
- diffusion de données personnelles,
- injures et diffamation,
- calomnie,
- mise en danger de la vie d’autrui via un système informatique.
L’affaire sera suivie de près tant elle soulève la question de la responsabilité des influenceurs sur les réseaux sociaux.