Prenant la parole, le parlementaire a demandé au ministre d’« éclairer les Sénégalais sur la dette cachée » et de revenir aux documents officiels qui fondent cette notion, notamment le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF), les bulletins statistiques ainsi que le rapport du cabinet Mazars. Selon Abdou Mbow, la transparence constitue une exigence incontournable dans la gestion des finances publiques.
Le député a particulièrement insisté sur la nécessité de connaître le montant exact prévu pour le remboursement d’une partie de cette dette en 2026. Sur la base de cette préoccupation, et conformément au règlement intérieur de l’Assemblée nationale, il a soulevé une question préalable visant à empêcher toute délibération tant que ces éclaircissements ne seraient pas apportés. Cette proposition a toutefois été rejetée par la majorité parlementaire.
En réponse, le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a rejeté les accusations de manque de clarté. « Il y a beaucoup de confusion sur ce que vous dites. Nous sommes dans un exercice sérieux et républicain », a-t-il déclaré devant les députés. Il a affirmé que son département avait établi une situation détaillée de la dette héritée, tout en soulignant la nécessité pour l’État de faire face à ses engagements.
« Il nous faut faire face à nos engagements, tout le reste n’est que dilatoire », a conclu le ministre, appelant à un débat qu’il juge plus rigoureux et fondé sur les données officiellement établies.
Le député a particulièrement insisté sur la nécessité de connaître le montant exact prévu pour le remboursement d’une partie de cette dette en 2026. Sur la base de cette préoccupation, et conformément au règlement intérieur de l’Assemblée nationale, il a soulevé une question préalable visant à empêcher toute délibération tant que ces éclaircissements ne seraient pas apportés. Cette proposition a toutefois été rejetée par la majorité parlementaire.
En réponse, le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a rejeté les accusations de manque de clarté. « Il y a beaucoup de confusion sur ce que vous dites. Nous sommes dans un exercice sérieux et républicain », a-t-il déclaré devant les députés. Il a affirmé que son département avait établi une situation détaillée de la dette héritée, tout en soulignant la nécessité pour l’État de faire face à ses engagements.
« Il nous faut faire face à nos engagements, tout le reste n’est que dilatoire », a conclu le ministre, appelant à un débat qu’il juge plus rigoureux et fondé sur les données officiellement établies.


Budget du ministère des Finances : Abdou Mbow interpelle Cheikh Diba sur la dette dite “cachée”