Les slogans scandés en ligne et dans les rues traduisent une colère sociale profonde : crise de l’école publique, difficultés d’accès aux soins, chômage persistant et sentiment d’exclusion politique. Face à ces cris du cœur, le gouvernement s’est réfugié dans une communication institutionnelle jugée déconnectée, incapable de comprendre le ton direct et les codes numériques de cette génération.
GenZ212 incarne cette jeunesse née avec Internet, structurée par les réseaux sociaux et déterminée à faire entendre sa voix hors des cadres traditionnels. En quelques jours, le hashtag est devenu viral, révélant une nouvelle forme d’engagement citoyen, horizontale, fluide et sans leader.
Derrière cette contestation, se dessine une fracture plus profonde : celle d’un pays où les aspirations numériques et sociales des jeunes semblent heurter une gouvernance restée figée dans les logiques du passé.
GenZ212 incarne cette jeunesse née avec Internet, structurée par les réseaux sociaux et déterminée à faire entendre sa voix hors des cadres traditionnels. En quelques jours, le hashtag est devenu viral, révélant une nouvelle forme d’engagement citoyen, horizontale, fluide et sans leader.
Derrière cette contestation, se dessine une fracture plus profonde : celle d’un pays où les aspirations numériques et sociales des jeunes semblent heurter une gouvernance restée figée dans les logiques du passé.
GenZ212: la révolte numérique d’une jeunesse marocaine face au gouvernement Akhannouch
