« J'avais refusé de faire partie du groupe qui devait aller le rencontrer pour le faire venir dans la coalition, surtout qu'il ne restait que deux semaines avant les élections. J'avais donné mes raisons et elles se confirment aujourd’hui », écrit-il.
Abass Fall rappelle que Diouf avait remis en cause la candidature du président Bassirou Diomaye Faye, et évoque également ses accusations voilées contre Pastef lors du prétendu attentat de Yarakh.
Il fustige les déclarations d’Abourahmane Diouf parlant de « justice des vainqueurs » :
« Il doute de la capacité de Mme le Ministre de la Justice à être juste. C'est discourtois et inintelligent. Nous réclamons la justice tout court, pas une justice des vainqueurs », martèle Abass Fall.
Le député estime que le président Bassirou Diomaye Faye « prendra ses responsabilités » face à ceux qui cherchent à diviser le parti :
« Il ne laissera jamais des gens comme toi saper l’unité de notre parti. Quelle honte et quelle ingratitude ! »
Abass Fall a également rendu hommage aux alliés loyaux du mouvement, citant notamment Guirassy, Yaye Aïda Mbodj, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dièye et Malick Gackou.
Il a conclu en appelant les militants à rester concentrés sur l’échéance du 8 novembre, non sans lancer une pique :
« Vous dansez plus vite que la musique ; vous vous perdez dans les sonorités et vous dansez faux. Faites attention à vos tibias. »
Abass Fall rappelle que Diouf avait remis en cause la candidature du président Bassirou Diomaye Faye, et évoque également ses accusations voilées contre Pastef lors du prétendu attentat de Yarakh.
Il fustige les déclarations d’Abourahmane Diouf parlant de « justice des vainqueurs » :
« Il doute de la capacité de Mme le Ministre de la Justice à être juste. C'est discourtois et inintelligent. Nous réclamons la justice tout court, pas une justice des vainqueurs », martèle Abass Fall.
Le député estime que le président Bassirou Diomaye Faye « prendra ses responsabilités » face à ceux qui cherchent à diviser le parti :
« Il ne laissera jamais des gens comme toi saper l’unité de notre parti. Quelle honte et quelle ingratitude ! »
Abass Fall a également rendu hommage aux alliés loyaux du mouvement, citant notamment Guirassy, Yaye Aïda Mbodj, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dièye et Malick Gackou.
Il a conclu en appelant les militants à rester concentrés sur l’échéance du 8 novembre, non sans lancer une pique :
« Vous dansez plus vite que la musique ; vous vous perdez dans les sonorités et vous dansez faux. Faites attention à vos tibias. »
Abass FALL s’en prend à Abourahmane Diouf : « quelle honte et quelle ingratitude ! »
