Le 22 septembre, un passeur présumé a été déféré devant le Procureur judiciaire financier du Tribunal de Grande Instance de Dakar. Cette interpellation fait suite à une enquête sur un réseau actif entre la Gambie et le Sénégal.
L’affaire a éclaté après la découverte de 16 migrants irréguliers sur le quai de Missirah, principalement originaires de Gambie. Ils s’apprêtaient à embarquer de nuit vers Betenty, accompagnés par un passeur. Les investigations ont mis en lumière un système structuré impliquant deux organisateurs basés en Gambie et un directeur d’école à Missirah, chargé d’assister les candidats dans leur passage.
Le suspect arrêté, d’abord dans le déni, a été confondu par plusieurs preuves. L’analyse de son téléphone portable a révélé des conversations WhatsApp avec un complice et un candidat, confirmant son rôle dans l’organisation. De plus, ses liens familiaux avec d’anciens migrants convoyés par le même réseau ont renforcé les soupçons.
Finalement, l’homme a reconnu sa participation, admettant avoir facilité l’embarquement d’un proche depuis avril 2025, tout en niant avoir perçu une rémunération.
Cette arrestation illustre la détermination des autorités sénégalaises à démanteler les réseaux de passeurs et à freiner la migration irrégulière dans la sous-région.
L’affaire a éclaté après la découverte de 16 migrants irréguliers sur le quai de Missirah, principalement originaires de Gambie. Ils s’apprêtaient à embarquer de nuit vers Betenty, accompagnés par un passeur. Les investigations ont mis en lumière un système structuré impliquant deux organisateurs basés en Gambie et un directeur d’école à Missirah, chargé d’assister les candidats dans leur passage.
Le suspect arrêté, d’abord dans le déni, a été confondu par plusieurs preuves. L’analyse de son téléphone portable a révélé des conversations WhatsApp avec un complice et un candidat, confirmant son rôle dans l’organisation. De plus, ses liens familiaux avec d’anciens migrants convoyés par le même réseau ont renforcé les soupçons.
Finalement, l’homme a reconnu sa participation, admettant avoir facilité l’embarquement d’un proche depuis avril 2025, tout en niant avoir perçu une rémunération.
Cette arrestation illustre la détermination des autorités sénégalaises à démanteler les réseaux de passeurs et à freiner la migration irrégulière dans la sous-région.