La stabilité monétaire comme actif collectif
Selon Abdourahmane Sarr, le financement du développement ne se limite pas à la mobilisation de ressources financières : « De l’argent, il y en a assez dans le monde. Mais pour y accéder, il faut bâtir la confiance. »
Il a cité l’exemple de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), qui dispose d’un cadre monétaire crédible et d’une banque centrale indépendante, un « actif collectif » qui protège la compétitivité et sécurise les investissements.
Discipline et transformation économique
Le ministre a insisté sur le fait que la discipline monétaire n’est pas une contrainte extérieure mais une garantie pour les États et leurs partenaires. Toutefois, il a reconnu que la discipline seule ne suffit pas : l’Afrique a besoin d’une transformation systémique vers davantage d’économie de marché, où « seule la liberté économique libère l’énergie créatrice ».
L’État doit structurer le développement endogène sans étouffer les initiatives privées, tout en s’appuyant sur l’apport extérieur.
Vers une coopération renouvelée avec la France
Abdourahmane Sarr a également plaidé pour une coopération dépassant la logique de l’aide et de la domination. Le partenariat avec la France doit, selon lui, être basé sur des relations mutuellement profitables, considérant l’Afrique comme un territoire d’innovation et de compétitivité, et non comme un simple marché.
Le ministre a invité les entreprises françaises à investir dans les territoires dynamiques, les infrastructures et l’urbanisation, notamment dans les villes côtières.
La vérité comme principe fondateur
Pour conclure, il a souligné que la vérité est une exigence féconde : « En la plaçant au cœur de nos finances, de nos monnaies et de notre coopération, nous ouvrons la voie à un développement partagé, durable et souverain. »
Selon Abdourahmane Sarr, le financement du développement ne se limite pas à la mobilisation de ressources financières : « De l’argent, il y en a assez dans le monde. Mais pour y accéder, il faut bâtir la confiance. »
Il a cité l’exemple de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), qui dispose d’un cadre monétaire crédible et d’une banque centrale indépendante, un « actif collectif » qui protège la compétitivité et sécurise les investissements.
Discipline et transformation économique
Le ministre a insisté sur le fait que la discipline monétaire n’est pas une contrainte extérieure mais une garantie pour les États et leurs partenaires. Toutefois, il a reconnu que la discipline seule ne suffit pas : l’Afrique a besoin d’une transformation systémique vers davantage d’économie de marché, où « seule la liberté économique libère l’énergie créatrice ».
L’État doit structurer le développement endogène sans étouffer les initiatives privées, tout en s’appuyant sur l’apport extérieur.
Vers une coopération renouvelée avec la France
Abdourahmane Sarr a également plaidé pour une coopération dépassant la logique de l’aide et de la domination. Le partenariat avec la France doit, selon lui, être basé sur des relations mutuellement profitables, considérant l’Afrique comme un territoire d’innovation et de compétitivité, et non comme un simple marché.
Le ministre a invité les entreprises françaises à investir dans les territoires dynamiques, les infrastructures et l’urbanisation, notamment dans les villes côtières.
La vérité comme principe fondateur
Pour conclure, il a souligné que la vérité est une exigence féconde : « En la plaçant au cœur de nos finances, de nos monnaies et de notre coopération, nous ouvrons la voie à un développement partagé, durable et souverain. »
Abdourahmane Sarr à Paris : stabilité monétaire et liberté économique au cœur du financement du développement