Lors d’une perquisition à son domicile, les enquêteurs ont saisi 162 extraits de naissance falsifiés, ainsi que des copies de cartes d’identité, certificats de nationalité et passeports.
Un faussaire bien connu des milieux clandestins
Selon L’Observateur, le nom de Faty circulait depuis longtemps dans les communautés étrangères installées à Dakar, où il fournissait des documents presque indiscernables de l’authentique. Son activité illégale lui avait permis de bâtir un réseau tentaculaire, protégé par des complices.
L’affaire a basculé après la dénonciation d’Amadou T. Bary, victime en 2023 d’une escroquerie à 35 000 F CFA pour un document jamais livré. Ce dernier a reconnu Faty par hasard aux Parcelles Assainies le 12 septembre et alerté la police.
Une enquête qui révèle un réseau structuré
Pris en filature et arrêté par le commissariat de l’Unité 15, l’ancien militaire a reconnu être un récidiviste du faux, opérant avec un complice basé à l’étranger et ciblant principalement une clientèle de la sous-région.
Depuis son arrestation, plusieurs victimes se sont présentées pour déposer plainte ou se constituer partie civile, confirmant l’ampleur du trafic.
Un faussaire bien connu des milieux clandestins
Selon L’Observateur, le nom de Faty circulait depuis longtemps dans les communautés étrangères installées à Dakar, où il fournissait des documents presque indiscernables de l’authentique. Son activité illégale lui avait permis de bâtir un réseau tentaculaire, protégé par des complices.
L’affaire a basculé après la dénonciation d’Amadou T. Bary, victime en 2023 d’une escroquerie à 35 000 F CFA pour un document jamais livré. Ce dernier a reconnu Faty par hasard aux Parcelles Assainies le 12 septembre et alerté la police.
Une enquête qui révèle un réseau structuré
Pris en filature et arrêté par le commissariat de l’Unité 15, l’ancien militaire a reconnu être un récidiviste du faux, opérant avec un complice basé à l’étranger et ciblant principalement une clientèle de la sous-région.
Depuis son arrestation, plusieurs victimes se sont présentées pour déposer plainte ou se constituer partie civile, confirmant l’ampleur du trafic.