Des automatismes déjà existants
Ferran et Nico se connaissent bien : les deux hommes évoluent ensemble avec la Roja. Leur complicité sur le terrain a déjà été démontrée à plusieurs reprises, et Ferran en est convaincu : « J’ai déjà joué avec lui en sélection, ça fonctionne bien. S’il venait au Barça, ce serait une excellente nouvelle ».
Toutefois, le joueur affirme ne pas avoir influencé personnellement son coéquipier : « Je ne lui en ai pas parlé. C’est une décision qui lui appartient. Mais tous les grands joueurs veulent venir dans les meilleurs clubs, et Barcelone en fait partie. »
Une pique au Real Madrid
L’attaquant du Barça n’a pas éludé la question des recrutements estivaux du Real Madrid, son grand rival. « On sait que c’est un grand club, ils essaient d’avoir les meilleurs chaque été. Mais nous sommes aussi très contents de notre équipe. »
Sur les ambitions du club catalan, Ferran a préféré rester prudent : « Être favori, je n’aime pas ça. Tout le monde veut vous faire tomber. Mais à part la Ligue des champions, nous avons presque tout gagné. »
Une génération espagnole ambitieuse
Ferran Torres a aussi évoqué les ambitions de l’équipe nationale espagnole, dont il est un cadre. « Nous sommes jeunes, mais ce qu’on a accompli est grand. Pourquoi ne pas viser la Coupe du monde ? » affirme-t-il, résolument optimiste sur l’avenir de la Roja.
L’avenir de Nico Williams reste incertain, mais les signaux envoyés depuis Barcelone — et depuis le vestiaire même — sont plus que clairs : le Barça veut l’attirer, et ses futurs partenaires sont déjà prêts à l’accueillir à bras ouverts.