Une double menace sanitaire à surveiller de près
Lors de cette réunion, Aissatou Barry Diouf, directrice régionale de la Santé de Kaolack, a présenté la situation épidémiologique préoccupante.
« La région a enregistré son premier cas de fièvre de la vallée du Rift au début du mois d’octobre », a-t-elle indiqué, justifiant ainsi la convocation du comité régional pour organiser une riposte rapide et coordonnée.
La fièvre de la vallée du Rift, maladie virale transmise de l’animal à l’homme, exige une approche multisectorielle. Elle se transmet notamment par contact direct avec des animaux infectés, leurs tissus, organes ou fluides corporels, mais aussi par la consommation de viande ou de produits laitiers non traités.
« La lutte contre cette maladie requiert une vigilance accrue, non seulement du secteur de la santé, mais aussi de celui de l’élevage et de l’environnement », a précisé Mme Diouf.
🧬 La dengue reste endémique dans la région
En parallèle, la région de Kaolack fait face à une augmentation notable des cas de dengue. Grâce au déploiement du laboratoire mobile de l’Institut Pasteur, plusieurs cas ont pu être diagnostiqués plus rapidement, permettant une meilleure surveillance de la propagation du virus.
Selon la directrice régionale, la dengue est une maladie endémique au Sénégal, circulant tout au long de l’année, mais avec des pics saisonniers observés pendant les périodes de forte humidité.
Pas de cas graves recensés
Malgré la multiplication des cas, aucune forme grave n’a été signalée à ce jour.
« Nous avons enregistré au total 10 cas de fièvre de la vallée du Rift, dont un en provenance d’un pays frontalier. Heureusement, aucun cas grave n’a été constaté », a rassuré la directrice régionale.
Les autorités sanitaires appellent à la vigilance communautaire, à la protection contre les piqûres de moustiques, et à une meilleure hygiène dans la manipulation des produits d’origine animale, afin de limiter la propagation de ces maladies.
Lors de cette réunion, Aissatou Barry Diouf, directrice régionale de la Santé de Kaolack, a présenté la situation épidémiologique préoccupante.
« La région a enregistré son premier cas de fièvre de la vallée du Rift au début du mois d’octobre », a-t-elle indiqué, justifiant ainsi la convocation du comité régional pour organiser une riposte rapide et coordonnée.
La fièvre de la vallée du Rift, maladie virale transmise de l’animal à l’homme, exige une approche multisectorielle. Elle se transmet notamment par contact direct avec des animaux infectés, leurs tissus, organes ou fluides corporels, mais aussi par la consommation de viande ou de produits laitiers non traités.
« La lutte contre cette maladie requiert une vigilance accrue, non seulement du secteur de la santé, mais aussi de celui de l’élevage et de l’environnement », a précisé Mme Diouf.
🧬 La dengue reste endémique dans la région
En parallèle, la région de Kaolack fait face à une augmentation notable des cas de dengue. Grâce au déploiement du laboratoire mobile de l’Institut Pasteur, plusieurs cas ont pu être diagnostiqués plus rapidement, permettant une meilleure surveillance de la propagation du virus.
Selon la directrice régionale, la dengue est une maladie endémique au Sénégal, circulant tout au long de l’année, mais avec des pics saisonniers observés pendant les périodes de forte humidité.
Pas de cas graves recensés
Malgré la multiplication des cas, aucune forme grave n’a été signalée à ce jour.
« Nous avons enregistré au total 10 cas de fièvre de la vallée du Rift, dont un en provenance d’un pays frontalier. Heureusement, aucun cas grave n’a été constaté », a rassuré la directrice régionale.
Les autorités sanitaires appellent à la vigilance communautaire, à la protection contre les piqûres de moustiques, et à une meilleure hygiène dans la manipulation des produits d’origine animale, afin de limiter la propagation de ces maladies.
Kaolack: 10 cas de fièvre de la vallée du Rift et 337 cas de dengue détectés en octobre