Avec un regard résolument panafricaniste, M. Sonko a défendu l’idée d’un continent prêt à capter les bénéfices de la transformation géopolitique et technologique actuelle. Selon lui, « l’Afrique est non seulement un réservoir d’opportunités, mais aussi un acteur stratégique dans la compétition mondiale pour la croissance ».
L’Afrique, au cœur d’une nouvelle géopolitique
Évoquant la théorie des cercles concentriques, il a plaidé pour une intégration africaine renforcée à partir des bases sous-régionales. Il a souligné que ce modèle de construction ascendante permettrait à l’Afrique de devenir un bloc économique solide, résilient et compétitif.
Abordant ensuite le "piège de Thucydide", il a mis en garde contre les tensions croissantes entre puissances mondiales établies et émergentes, appelant les États africains à profiter de ces recompositions stratégiques :
« Le monde se redéfinit. L’Afrique ne doit pas être spectatrice, mais actrice de cette transition. »
Deux nouveaux espaces de croissance : le numérique et l’Afrique
Ousmane Sonko a affirmé que le monde cherchait désormais deux nouveaux espaces de croissance :
L’espace immatériel, porté par les technologies numériques,
Et l’espace géographique, incarné par l’Afrique, le seul continent où tout est encore à bâtir.
« Le continent africain est un marché de plus d’un milliard d’habitants, avec une demande exponentielle en services, en infrastructures, en éducation, en énergie… En 2050, l’Afrique représentera 25 % de la population mondiale », a-t-il précisé.
Le Sénégal, un futur hub régional
Pour M. Sonko, le Sénégal a un rôle stratégique à jouer dans cette dynamique :
« Toutes les conditions sont réunies pour faire du Sénégal un hub économique de l’Afrique de l’Ouest. Nous devons offrir la stabilité, la transparence et la vision qui rassurent les investisseurs. »
Une Afrique responsable et attractive
Le Premier ministre a toutefois rappelé que l’attractivité africaine dépend aussi des efforts internes. Il a exhorté les gouvernements africains à créer les garanties et cadres de confiance nécessaires, afin de transformer l’intérêt mondial en partenariats solides et durables.
L’Afrique, au cœur d’une nouvelle géopolitique
Évoquant la théorie des cercles concentriques, il a plaidé pour une intégration africaine renforcée à partir des bases sous-régionales. Il a souligné que ce modèle de construction ascendante permettrait à l’Afrique de devenir un bloc économique solide, résilient et compétitif.
Abordant ensuite le "piège de Thucydide", il a mis en garde contre les tensions croissantes entre puissances mondiales établies et émergentes, appelant les États africains à profiter de ces recompositions stratégiques :
« Le monde se redéfinit. L’Afrique ne doit pas être spectatrice, mais actrice de cette transition. »
Deux nouveaux espaces de croissance : le numérique et l’Afrique
Ousmane Sonko a affirmé que le monde cherchait désormais deux nouveaux espaces de croissance :
L’espace immatériel, porté par les technologies numériques,
Et l’espace géographique, incarné par l’Afrique, le seul continent où tout est encore à bâtir.
« Le continent africain est un marché de plus d’un milliard d’habitants, avec une demande exponentielle en services, en infrastructures, en éducation, en énergie… En 2050, l’Afrique représentera 25 % de la population mondiale », a-t-il précisé.
Le Sénégal, un futur hub régional
Pour M. Sonko, le Sénégal a un rôle stratégique à jouer dans cette dynamique :
« Toutes les conditions sont réunies pour faire du Sénégal un hub économique de l’Afrique de l’Ouest. Nous devons offrir la stabilité, la transparence et la vision qui rassurent les investisseurs. »
Une Afrique responsable et attractive
Le Premier ministre a toutefois rappelé que l’attractivité africaine dépend aussi des efforts internes. Il a exhorté les gouvernements africains à créer les garanties et cadres de confiance nécessaires, afin de transformer l’intérêt mondial en partenariats solides et durables.