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Saint-Louis – 32 candidats à l’émigration irrégulière arrêtés dans l’aire marine protégée
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Affaire Lat Diop : l’ancien DG de la Lonase de nouveau auditionné par la DIC
Dans son courrier, l’ancien ministre de l’Énergie s’appuie sur deux indicateurs macroéconomiques essentiels pour appuyer son interrogation. D'une part, le prix du baril de Brent a chuté de 18,09 % entre le 10 juin 2024 et le 9 juin 2025, passant de 81,96 USD à 67,13 USD. D'autre part, le taux de change du dollar a également reculé de 5,43 %, passant de 607,396 XOF à 574,435 XOF pour 1 USD.
Une baisse logique attendue des prix
Selon Thierno Alassane Sall, ces deux éléments combinés – baisse du baril et du taux de change – devraient logiquement réduire le coût des produits pétroliers importés, ce qui aurait dû se traduire par une baisse des prix à la pompe. Il fait aussi remarquer que certains pays de la sous-région ont déjà ajusté leurs tarifs à la baisse.
Le paradoxe sénégalais
Malgré ces éléments favorables et le nouveau statut du Sénégal comme pays producteur d'hydrocarbures, les prix à la pompe restent inchangés et parmi les plus élevés de la sous-région. Thierno Alassane Sall s’interroge sur les raisons de ce statu quo et interpelle directement le ministre Birame Souleye Diop sur les choix politiques et économiques qui maintiennent ces prix à des niveaux aussi élevés.
Une demande de transparence
Par cette démarche, le député non-inscrit appelle à plus de transparence dans la fixation des prix des produits pétroliers et invite le gouvernement à revoir sa politique énergétique pour mieux refléter les réalités économiques internationales et alléger le fardeau des consommateurs sénégalais.
Une baisse logique attendue des prix
Selon Thierno Alassane Sall, ces deux éléments combinés – baisse du baril et du taux de change – devraient logiquement réduire le coût des produits pétroliers importés, ce qui aurait dû se traduire par une baisse des prix à la pompe. Il fait aussi remarquer que certains pays de la sous-région ont déjà ajusté leurs tarifs à la baisse.
Le paradoxe sénégalais
Malgré ces éléments favorables et le nouveau statut du Sénégal comme pays producteur d'hydrocarbures, les prix à la pompe restent inchangés et parmi les plus élevés de la sous-région. Thierno Alassane Sall s’interroge sur les raisons de ce statu quo et interpelle directement le ministre Birame Souleye Diop sur les choix politiques et économiques qui maintiennent ces prix à des niveaux aussi élevés.
Une demande de transparence
Par cette démarche, le député non-inscrit appelle à plus de transparence dans la fixation des prix des produits pétroliers et invite le gouvernement à revoir sa politique énergétique pour mieux refléter les réalités économiques internationales et alléger le fardeau des consommateurs sénégalais.