Une démarche participative et inclusive
Le processus d’élaboration a mobilisé plusieurs acteurs clés : le Ministère de la Justice, l’Assemblée nationale, le PNUD, le HCDH, la société civile, les médias, les universitaires, ainsi que l’UNICEF, qui a contribué activement à la construction de ce plan.
L’initiative reflète une volonté commune de garantir que la croissance économique du pays ne se fasse pas au détriment des droits des enfants, souvent relégués au second plan dans les débats économiques.
L’impact du secteur privé sur les droits des enfants
Toutes les activités économiques – agriculture, industries extractives, tourisme ou numérique – exercent un impact, direct ou indirect, sur la vie des enfants.
Impacts positifs : création d’emplois pour les parents, innovations en santé et éducation.
Impacts négatifs : travail des enfants dans les chaînes d’approvisionnement, exposition à des environnements dangereux, accès limité aux services sociaux de base, abus et exploitation.
Face à ces défis, l’UNICEF a plaidé pour une intégration explicite des droits de l’enfant dans le plan, avec des recommandations spécifiques à l’attention du secteur privé.
Un Sénégal aligné sur la Vision 2050
Pour Jacques Boyer, Représentant de l’UNICEF au Sénégal :
« Ce n’est qu’en traduisant ces engagements en actions concrètes que nous construirons le Sénégal de demain : un Sénégal aligné sur la Vision 2050, qui met l’enfant au cœur de ses politiques de développement. »
Ce Plan d’Action National marque ainsi un tournant décisif, en érigeant la protection des droits de l’enfant comme un pilier incontournable de la gouvernance économique et sociale du Sénégal.
Le processus d’élaboration a mobilisé plusieurs acteurs clés : le Ministère de la Justice, l’Assemblée nationale, le PNUD, le HCDH, la société civile, les médias, les universitaires, ainsi que l’UNICEF, qui a contribué activement à la construction de ce plan.
L’initiative reflète une volonté commune de garantir que la croissance économique du pays ne se fasse pas au détriment des droits des enfants, souvent relégués au second plan dans les débats économiques.
L’impact du secteur privé sur les droits des enfants
Toutes les activités économiques – agriculture, industries extractives, tourisme ou numérique – exercent un impact, direct ou indirect, sur la vie des enfants.
Impacts positifs : création d’emplois pour les parents, innovations en santé et éducation.
Impacts négatifs : travail des enfants dans les chaînes d’approvisionnement, exposition à des environnements dangereux, accès limité aux services sociaux de base, abus et exploitation.
Face à ces défis, l’UNICEF a plaidé pour une intégration explicite des droits de l’enfant dans le plan, avec des recommandations spécifiques à l’attention du secteur privé.
Un Sénégal aligné sur la Vision 2050
Pour Jacques Boyer, Représentant de l’UNICEF au Sénégal :
« Ce n’est qu’en traduisant ces engagements en actions concrètes que nous construirons le Sénégal de demain : un Sénégal aligné sur la Vision 2050, qui met l’enfant au cœur de ses politiques de développement. »
Ce Plan d’Action National marque ainsi un tournant décisif, en érigeant la protection des droits de l’enfant comme un pilier incontournable de la gouvernance économique et sociale du Sénégal.