Une innovation au-delà des laboratoires
Le GII 2025 ne se limite pas aux inventions spectaculaires ou aux laboratoires ultra-modernes. Il valorise également les solutions économiques créatives, les améliorations progressives et les initiatives locales qui transforment les économies de manière discrète mais durable.
L’indice combine deux sous-indices équipondérés :
Intrants : investissement, capital humain, infrastructures et conditions favorables.
Extrants : production de connaissances et technologies, et créations artistiques et culturelles.
Au total, 78 indicateurs sont utilisés pour mesurer l’innovation dans un contexte numérique et distribué.
Les leaders africains
Maurice (53e mondial) : dynamisme du capital-risque et secteur privé innovant.
Afrique du Sud (61e) : force dans les services TIC et valeur de sa marque mondiale.
Seychelles (75e) et Botswana (87e) : progrès constants dans divers indicateurs.
Sénégal (89e) : gagne trois places grâce à la valorisation des licornes et un meilleur accès à la microfinance.
La Namibie (91e) enregistre la plus forte progression régionale (+11 places) grâce à ses dépenses en éducation, la collaboration public-privé et les investissements directs étrangers.
Le Nigéria (105e) se distingue par sa croissance rapide, la valorisation des licornes et l’augmentation du financement par capital-risque et des importations de haute technologie.
Cette évolution démontre que l’innovation en Afrique subsaharienne ne se limite pas aux technologies de pointe, mais s’appuie sur un écosystème dynamique où capital humain, financement et collaboration sont essentiels.
Le GII 2025 ne se limite pas aux inventions spectaculaires ou aux laboratoires ultra-modernes. Il valorise également les solutions économiques créatives, les améliorations progressives et les initiatives locales qui transforment les économies de manière discrète mais durable.
L’indice combine deux sous-indices équipondérés :
Intrants : investissement, capital humain, infrastructures et conditions favorables.
Extrants : production de connaissances et technologies, et créations artistiques et culturelles.
Au total, 78 indicateurs sont utilisés pour mesurer l’innovation dans un contexte numérique et distribué.
Les leaders africains
Maurice (53e mondial) : dynamisme du capital-risque et secteur privé innovant.
Afrique du Sud (61e) : force dans les services TIC et valeur de sa marque mondiale.
Seychelles (75e) et Botswana (87e) : progrès constants dans divers indicateurs.
Sénégal (89e) : gagne trois places grâce à la valorisation des licornes et un meilleur accès à la microfinance.
La Namibie (91e) enregistre la plus forte progression régionale (+11 places) grâce à ses dépenses en éducation, la collaboration public-privé et les investissements directs étrangers.
Le Nigéria (105e) se distingue par sa croissance rapide, la valorisation des licornes et l’augmentation du financement par capital-risque et des importations de haute technologie.
Cette évolution démontre que l’innovation en Afrique subsaharienne ne se limite pas aux technologies de pointe, mais s’appuie sur un écosystème dynamique où capital humain, financement et collaboration sont essentiels.