Cheikh Tidiane Dièye ouvre à Dakar la réunion du Comité consultatif technique de l’AMCOW
Dans son allocution, le ministre a insisté sur la nécessité de dépasser les chiffres et les infrastructures pour mettre en avant l’humain. Il a rappelé que des millions d’Africains vivent encore sans accès sécurisé à l’eau et à l’assainissement, et que face aux défis du climat et de la démographie, des solutions audacieuses et pragmatiques sont indispensables.
« Parce que l’eau précède l’homme, qu’elle est origine de la vie, mémoire de la création et condition de notre avenir collectif, nous devons l’aborder avec un esprit humaniste, solidaire et coopératif », a déclaré Cheikh Tidiane Dièye.
Près de trente pays africains, dont une vingtaine représentés par des ministres, prendront part à l’Assemblée générale du Conseil des ministres. L’événement fera de Dakar la capitale africaine de l’eau, où se dessinera une nouvelle Vision Africaine 2063.
En janvier prochain, le Sénégal accueillera également la réunion préparatoire à la Conférence des Nations Unies sur l’eau, qu’il coorganisera avec les Émirats Arabes Unis en décembre 2026.
Le ministre a conclu en rappelant que « préserver l’eau, c’est préserver l’humanité ; partager l’eau, c’est bâtir la paix ; et gouverner l’eau, c’est exercer la plus haute forme de sécurité et de souveraineté ».
« Parce que l’eau précède l’homme, qu’elle est origine de la vie, mémoire de la création et condition de notre avenir collectif, nous devons l’aborder avec un esprit humaniste, solidaire et coopératif », a déclaré Cheikh Tidiane Dièye.
Près de trente pays africains, dont une vingtaine représentés par des ministres, prendront part à l’Assemblée générale du Conseil des ministres. L’événement fera de Dakar la capitale africaine de l’eau, où se dessinera une nouvelle Vision Africaine 2063.
En janvier prochain, le Sénégal accueillera également la réunion préparatoire à la Conférence des Nations Unies sur l’eau, qu’il coorganisera avec les Émirats Arabes Unis en décembre 2026.
Le ministre a conclu en rappelant que « préserver l’eau, c’est préserver l’humanité ; partager l’eau, c’est bâtir la paix ; et gouverner l’eau, c’est exercer la plus haute forme de sécurité et de souveraineté ».
