Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a réaffirmé que la préservation de l’intégrité territoriale de l’Ukraine demeure « le plus grand défi » dans les discussions diplomatiques en cours autour du plan américain visant à mettre fin au conflit russo-ukrainien. Cette déclaration a été faite à Paris, lors d’une conférence de presse conjointe avec le président français Emmanuel Macron.
Entouré de responsables français, allemands, italiens, polonais et britanniques, Zelenskyy a mis en garde contre tout compromis qui légitimerait l’occupation par Moscou des territoires ukrainiens. « Notre principal défi reste la question territoriale. Nous ne pouvons accepter aucune issue qui récompense la guerre que la Russie a déclenchée », a-t-il insisté.
Les échanges ont également permis d’évaluer les avancées des discussions tenues la veille entre délégations ukrainienne et américaine. De nouvelles rencontres sont prévues dans plusieurs capitales européennes.
De son côté, Emmanuel Macron a réaffirmé que « l’Ukraine doit être seule à décider de ses frontières », tout en évoquant la préparation de possibles garanties de sécurité si un accord de paix venait à émerger. La cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, a, elle aussi, insisté sur la nécessité d’une position transatlantique unifiée.
Un point de tension majeur dans les négociations
La question territoriale s’annonce comme le point le plus sensible alors que l’envoyé spécial américain Steve Witkoff et Jared Kushner doivent rencontrer Vladimir Poutine. Zelenskyy espère échanger avec Donald Trump après ces discussions, mais Kyiv a déjà fait savoir qu’elle rejettera tout accord impliquant une cession de territoire.
Selon son conseiller Rustem Umerov, « abandonner notre territoire reviendrait à abolir le droit international ». Il souligne que les discussions sur les garanties de sécurité restent complexes, car elles doivent protéger « l’Ukraine et l’Europe ».
Ces tensions s’ajoutent aux critiques suscitées par un brouillon du plan américain, jugé trop favorable à Moscou, notamment parce qu’il prévoyait de limiter la taille de l’armée ukrainienne et d’interdire définitivement son adhésion à l’OTAN.
Une escalade militaire en parallèle des efforts diplomatiques
Alors que les discussions s'intensifient, une frappe russe sur Dnipro a causé au moins quatre morts et plus de quarante blessés, selon les autorités locales. Des infrastructures civiles, des écoles et plusieurs immeubles ont été touchés.
Moscou affirme continuer sa progression dans la région de Donetsk, ce que dément l’armée ukrainienne, qui annonce avoir infligé des pertes significatives à l’ennemi.
Entouré de responsables français, allemands, italiens, polonais et britanniques, Zelenskyy a mis en garde contre tout compromis qui légitimerait l’occupation par Moscou des territoires ukrainiens. « Notre principal défi reste la question territoriale. Nous ne pouvons accepter aucune issue qui récompense la guerre que la Russie a déclenchée », a-t-il insisté.
Les échanges ont également permis d’évaluer les avancées des discussions tenues la veille entre délégations ukrainienne et américaine. De nouvelles rencontres sont prévues dans plusieurs capitales européennes.
De son côté, Emmanuel Macron a réaffirmé que « l’Ukraine doit être seule à décider de ses frontières », tout en évoquant la préparation de possibles garanties de sécurité si un accord de paix venait à émerger. La cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, a, elle aussi, insisté sur la nécessité d’une position transatlantique unifiée.
Un point de tension majeur dans les négociations
La question territoriale s’annonce comme le point le plus sensible alors que l’envoyé spécial américain Steve Witkoff et Jared Kushner doivent rencontrer Vladimir Poutine. Zelenskyy espère échanger avec Donald Trump après ces discussions, mais Kyiv a déjà fait savoir qu’elle rejettera tout accord impliquant une cession de territoire.
Selon son conseiller Rustem Umerov, « abandonner notre territoire reviendrait à abolir le droit international ». Il souligne que les discussions sur les garanties de sécurité restent complexes, car elles doivent protéger « l’Ukraine et l’Europe ».
Ces tensions s’ajoutent aux critiques suscitées par un brouillon du plan américain, jugé trop favorable à Moscou, notamment parce qu’il prévoyait de limiter la taille de l’armée ukrainienne et d’interdire définitivement son adhésion à l’OTAN.
Une escalade militaire en parallèle des efforts diplomatiques
Alors que les discussions s'intensifient, une frappe russe sur Dnipro a causé au moins quatre morts et plus de quarante blessés, selon les autorités locales. Des infrastructures civiles, des écoles et plusieurs immeubles ont été touchés.
Moscou affirme continuer sa progression dans la région de Donetsk, ce que dément l’armée ukrainienne, qui annonce avoir infligé des pertes significatives à l’ennemi.