Washington justifie sa posture par la lutte contre le trafic de drogue, désignant le Cartel de los Soles comme « organisation terroriste étrangère ». Cependant, les experts juridiques et observateurs des droits humains considèrent ces frappes comme des violations potentielles du droit international et des États-Unis. Le Congrès a d’ailleurs lancé une enquête sur ces opérations.
À Caracas, le président Nicolas Maduro a dénoncé l’annonce américaine comme une « agression illégale » et a réaffirmé son engagement à défendre le pays contre toute « menace impérialiste ». Il continue d’appeler à la paix et au dialogue tout en renforçant les capacités militaires nationales.
Les motivations de Washington sont jugées multiples : sécurisation de l’accès au pétrole vénézuélien, pression politique pour un alignement stratégique du Venezuela avec les États-Unis plutôt qu’avec la Chine, la Russie ou l’Iran, et maintien de l’influence américaine dans l’hémisphère occidental.
La réaction internationale a été variée : l’Union européenne critique le non-respect du droit international, la Colombie dénonce l’impact sur sa frontière et l’afflux de réfugiés, tandis que la Chine et la Russie réaffirment leur soutien à Maduro et condamnent l’ingérence extérieure.
Le scénario reste incertain : Trump utilise la pression militaire comme levier de négociation et comme message politique, mais l’intervention directe reste juridiquement et diplomatiquement controversée.
À Caracas, le président Nicolas Maduro a dénoncé l’annonce américaine comme une « agression illégale » et a réaffirmé son engagement à défendre le pays contre toute « menace impérialiste ». Il continue d’appeler à la paix et au dialogue tout en renforçant les capacités militaires nationales.
Les motivations de Washington sont jugées multiples : sécurisation de l’accès au pétrole vénézuélien, pression politique pour un alignement stratégique du Venezuela avec les États-Unis plutôt qu’avec la Chine, la Russie ou l’Iran, et maintien de l’influence américaine dans l’hémisphère occidental.
La réaction internationale a été variée : l’Union européenne critique le non-respect du droit international, la Colombie dénonce l’impact sur sa frontière et l’afflux de réfugiés, tandis que la Chine et la Russie réaffirment leur soutien à Maduro et condamnent l’ingérence extérieure.
Le scénario reste incertain : Trump utilise la pression militaire comme levier de négociation et comme message politique, mais l’intervention directe reste juridiquement et diplomatiquement controversée.