Selon lui, le pays dépend excessivement de l’endettement : « Le budget actuel montre que nous comptons trop sur cette dette. 40 % de ce budget concernent la dette. »
Il estime que la crise politique persistante contribue à fragiliser la confiance des investisseurs : « Nous sommes concentrés dans une crise politique et permettons inconsciemment aux investisseurs d’être inquiets. »
Le parlementaire a également interpellé les autorités sur leur responsabilité dans cette période qu’il qualifie de « critique », tout en saluant la disponibilité au dialogue du gouvernement.
Dans un souci de transparence, il a posé plusieurs questions :
— « Est-ce qu’en octobre, nous avons eu des défauts de paiement ? »
— « Est-il normal d’accroître l’endettement du pays en se dotant de neuf Airbus dans un contexte aussi difficile ? »
Enfin, Thierno Alassane Sall a appelé l’Assemblée nationale à « assumer son rôle de contrôle » et à sortir d’une logique strictement partisane.
Il estime que la crise politique persistante contribue à fragiliser la confiance des investisseurs : « Nous sommes concentrés dans une crise politique et permettons inconsciemment aux investisseurs d’être inquiets. »
Le parlementaire a également interpellé les autorités sur leur responsabilité dans cette période qu’il qualifie de « critique », tout en saluant la disponibilité au dialogue du gouvernement.
Dans un souci de transparence, il a posé plusieurs questions :
— « Est-ce qu’en octobre, nous avons eu des défauts de paiement ? »
— « Est-il normal d’accroître l’endettement du pays en se dotant de neuf Airbus dans un contexte aussi difficile ? »
Enfin, Thierno Alassane Sall a appelé l’Assemblée nationale à « assumer son rôle de contrôle » et à sortir d’une logique strictement partisane.