Un voyage révélé… par un journaliste, pas par l’État
L’information n’est pas venue d’une source gouvernementale.
Elle n’a pas été annoncée dans un communiqué, ni relayée par la Primature.
C’est un tweet qui met le feu aux poudres.
Depuis Paris, Madiambal Diagne, patron du groupe Avenir Communication, publie :
« Le PM Sonko a décollé à 17 h 25 de l’aéroport Léopold-Sédar-Senghor »
Il précise même le modèle du jet : un Dassault Falcon 8X ✈️, avion privé haut de gamme, 14 passagers, près de 12 000 km d’autonomie… Un choix de prestige qui fait tiquer dans un contexte où l’État évoque une situation financière critique.
Et surtout, cette phrase lourde de sous-entendus :
« Sonko aurait déménagé des affaires du Petit Palais depuis deux jours »
Fuite ? Menace ? Stratégie ?
Aucune réponse officielle.
La polémique enfle.
Une réaction maladroite qui accentue le malaise
Depuis Mbacké, El Malick Ndiaye, président de l’Assemblée nationale, réplique immédiatement :
« Sonko n’a pas fui. Il est parti chercher de l’argent et s’il plaît à Dieu, il reviendra avec. »
L’objectif : calmer le jeu.
L’effet réel : nourrir davantage les soupçons.
Pourquoi évoquer la fuite si personne ne l’avait affirmée officiellement ?
Pourquoi parler d’argent sans préciser le cadre ni les interlocuteurs ?
Un agenda diplomatique aussi opaque qu’inédit
Selon plusieurs observateurs et L’As, trois zones d’ombre majeures persistent :
Un déplacement sans aucune communication institutionnelle
Aucune trace :
Dans le dernier Conseil des ministres
Sur les canaux officiels
Dans les visuels gouvernementaux
Pour un chef de gouvernement, c’est inédit et politiquement risqué.
Une mission économique non assumée politiquement ?
Le recours à un jet privé : le symbole qui dérange
Deux hypothèses… toutes deux explosives :
Scénario Problème posé
Jet financé par l’État Contradiction totale avec le discours d’austérité
Jet offert par un partenaire privé Conflit d’intérêts ? Contreparties ? Influence extérieure ?
L’opacité ouvre la voie à tous les fantasmes.
Silence total sur les objectifs diplomatiques
Qui Sonko rencontre-t-il ?
Dans quel cadre ?
Pour négocier quoi ?
Investissements ? Aide budgétaire ?
Accords stratégiques avec Abu Dhabi ou Dubaï ?
Dans un pays en quête urgente de financements, chaque signature devrait être mise en valeur.
Ici, c’est le blackout.
Une affaire qui risque d’échapper au contrôle du gouvernement
Ce voyage, au lieu de renforcer la confiance, creuse les doutes :
Sur la transparence de l’action publique
Sur la cohérence du discours économique
Sur le leadership du Premier ministre dans une période sensible
À vouloir tout cacher… le pouvoir finit par tout exposer.
Et maintenant ?
Le retour d’Ousmane Sonko sera déterminant.
Soit il revient avec :
✔️ des accords financiers crédibles
✔️ une communication claire
✔️ des résultats visibles
…et la polémique se taira.
Soit le flou demeure.
Et la question la plus redoutée réapparaîtra :
👉 À qui profite le silence ?
Affaire à suivre…
L’information n’est pas venue d’une source gouvernementale.
Elle n’a pas été annoncée dans un communiqué, ni relayée par la Primature.
C’est un tweet qui met le feu aux poudres.
Depuis Paris, Madiambal Diagne, patron du groupe Avenir Communication, publie :
« Le PM Sonko a décollé à 17 h 25 de l’aéroport Léopold-Sédar-Senghor »
Il précise même le modèle du jet : un Dassault Falcon 8X ✈️, avion privé haut de gamme, 14 passagers, près de 12 000 km d’autonomie… Un choix de prestige qui fait tiquer dans un contexte où l’État évoque une situation financière critique.
Et surtout, cette phrase lourde de sous-entendus :
« Sonko aurait déménagé des affaires du Petit Palais depuis deux jours »
Fuite ? Menace ? Stratégie ?
Aucune réponse officielle.
La polémique enfle.
Une réaction maladroite qui accentue le malaise
Depuis Mbacké, El Malick Ndiaye, président de l’Assemblée nationale, réplique immédiatement :
« Sonko n’a pas fui. Il est parti chercher de l’argent et s’il plaît à Dieu, il reviendra avec. »
L’objectif : calmer le jeu.
L’effet réel : nourrir davantage les soupçons.
Pourquoi évoquer la fuite si personne ne l’avait affirmée officiellement ?
Pourquoi parler d’argent sans préciser le cadre ni les interlocuteurs ?
Un agenda diplomatique aussi opaque qu’inédit
Selon plusieurs observateurs et L’As, trois zones d’ombre majeures persistent :
Un déplacement sans aucune communication institutionnelle
Aucune trace :
Dans le dernier Conseil des ministres
Sur les canaux officiels
Dans les visuels gouvernementaux
Pour un chef de gouvernement, c’est inédit et politiquement risqué.
Une mission économique non assumée politiquement ?
Le recours à un jet privé : le symbole qui dérange
Deux hypothèses… toutes deux explosives :
Scénario Problème posé
Jet financé par l’État Contradiction totale avec le discours d’austérité
Jet offert par un partenaire privé Conflit d’intérêts ? Contreparties ? Influence extérieure ?
L’opacité ouvre la voie à tous les fantasmes.
Silence total sur les objectifs diplomatiques
Qui Sonko rencontre-t-il ?
Dans quel cadre ?
Pour négocier quoi ?
Investissements ? Aide budgétaire ?
Accords stratégiques avec Abu Dhabi ou Dubaï ?
Dans un pays en quête urgente de financements, chaque signature devrait être mise en valeur.
Ici, c’est le blackout.
Une affaire qui risque d’échapper au contrôle du gouvernement
Ce voyage, au lieu de renforcer la confiance, creuse les doutes :
Sur la transparence de l’action publique
Sur la cohérence du discours économique
Sur le leadership du Premier ministre dans une période sensible
À vouloir tout cacher… le pouvoir finit par tout exposer.
Et maintenant ?
Le retour d’Ousmane Sonko sera déterminant.
Soit il revient avec :
✔️ des accords financiers crédibles
✔️ une communication claire
✔️ des résultats visibles
…et la polémique se taira.
Soit le flou demeure.
Et la question la plus redoutée réapparaîtra :
👉 À qui profite le silence ?
Affaire à suivre…