Le Sénégal vient d’adopter un nouveau socle juridique pour la bonne gouvernance. Le Président Bassirou Diomaye Faye a promulgué quatre lois stratégiques visant à consolider la transparence et à renforcer la lutte contre la corruption.
Ces réformes portent sur :
La protection des lanceurs d’alerte : garantie d’anonymat et d’immunité pour les citoyens signalant des faits de corruption ou d’atteinte à l’intérêt général.
La réforme de l’OFNAC : renforcement de l’indépendance et des moyens de l’Office national de lutte contre la corruption, afin d’améliorer ses enquêtes et de crédibiliser ses rapports.
L’accès à l’information : reconnaissance du droit pour tout citoyen d’obtenir des documents publics, favorisant la transparence et la participation citoyenne.
La déclaration de patrimoine : extension des obligations des responsables publics pour prévenir les conflits d’intérêts et assurer un meilleur suivi de l’enrichissement.
Pour le chef de l’État, il s’agit de poser les fondements d’un « nouvel ordre de gouvernance », basé sur la redevabilité et la confiance entre l’administration et les citoyens.
Si ces textes marquent une avancée historique, leur efficacité dépendra de leur application concrète, du contrôle citoyen et du suivi institutionnel.
Ces réformes portent sur :
La protection des lanceurs d’alerte : garantie d’anonymat et d’immunité pour les citoyens signalant des faits de corruption ou d’atteinte à l’intérêt général.
La réforme de l’OFNAC : renforcement de l’indépendance et des moyens de l’Office national de lutte contre la corruption, afin d’améliorer ses enquêtes et de crédibiliser ses rapports.
L’accès à l’information : reconnaissance du droit pour tout citoyen d’obtenir des documents publics, favorisant la transparence et la participation citoyenne.
La déclaration de patrimoine : extension des obligations des responsables publics pour prévenir les conflits d’intérêts et assurer un meilleur suivi de l’enrichissement.
Pour le chef de l’État, il s’agit de poser les fondements d’un « nouvel ordre de gouvernance », basé sur la redevabilité et la confiance entre l’administration et les citoyens.
Si ces textes marquent une avancée historique, leur efficacité dépendra de leur application concrète, du contrôle citoyen et du suivi institutionnel.