Dans un article publié récemment et intitulé « Abdoulaye Dia, le self-made man qui a fait de Senico un leader de l’agroalimentaire au Sénégal », Mme KONE avance des accusations graves à l’encontre de Monsieur Samuel SARR, évoquant un prétendu détournement de 65 milliards FCFA dans le cadre d’un contentieux avec Moustapha Ndiaye, ainsi qu’un supposé arrêt du projet porté par West African Energy.
Face à ces affirmations, la cellule de communication officielle de Monsieur Samuel SARR, dirigée par Mamadou Gaye, ancien journaliste et conseiller en communication stratégique, a publié un démenti formel et catégorique.
Aucun détournement : des accusations sans fondement
La cellule précise que Monsieur Samuel SARR n’a jamais été poursuivi pour détournement de fonds et qu’aucune preuve ni décision judiciaire ne permet d’étayer de telles allégations. Ces accusations sont qualifiées de "grave atteinte à l’honneur et à la réputation d’un investisseur reconnu".
Des expertises qui confirment la régularité de sa gestion
Les conclusions d’expertises commandées par le juge d’instruction Maha Barry, et menées par les cabinets NEXIA-RMA (dirigé par Alboury Ndao) et Aliou Touré, confirment l’absence totale d’irrégularités dans la gestion de Monsieur SARR. Ces éléments objectifs viennent infirmer les propos tenus dans l’article mentionné.
Le projet énergétique avance : 80 MW déjà injectés
Contrairement à ce qui a été affirmé, le projet énergétique mené par West African Energy est bien en cours. Plus de 80 MW ont été injectés dans le réseau national dès le 22 août 2024, lors d’un test concluant en présence de la direction de la SENELEC et de plusieurs partenaires techniques. Il s’agit d’une avancée stratégique dans le cadre de l’autonomisation énergétique du Sénégal.
Un droit de réponse exigé auprès de Jeune Afrique
La cellule de communication de M. SARR considère que ces accusations infondées et malveillantes ont été insérées de manière injustifiée dans un article à visée promotionnelle pour un tiers. Une demande officielle de publication du droit de réponse a donc été adressée au média Jeune Afrique, afin que ce démenti soit publié dans les mêmes conditions de visibilité que l’article initial.