Il s’exprimait à l’ouverture de la 8ᵉ édition du Salon international des mines du Sénégal (SIM Sénégal 2025), qui se tient du 4 au 6 novembre à Diamniadio.
Devant des acteurs venus d’Afrique et du monde entier, le chef de l’État a rappelé que le développement du secteur minier doit être indissociable de la responsabilité environnementale, de la justice sociale et du respect des cadres légaux.
« J’appelle solennellement l’ensemble des entreprises du secteur à respecter les dispositions du Code minier, les normes environnementales, sociales et fiscales, ainsi que toutes les obligations contractuelles qui leur incombent », a déclaré le président Faye.
Selon lui, les sociétés minières doivent être perçues comme des partenaires du progrès national, et non comme de simples exploitants de ressources naturelles.
« Chaque gramme d’or, chaque tonne de phosphate, de zircon ou de minerais stratégiques doit contribuer à bâtir une économie robuste, créatrice d’emplois qualifiés et porteuse d’innovation », a-t-il insisté.
Bassirou Diomaye Faye a également réaffirmé la volonté du Sénégal de transformer son potentiel minier en levier industriel et technologique, à travers une valorisation accrue des ressources locales et le développement des compétences nationales.
Le chef de l’État a rappelé que les ressources minières appartiennent au peuple et doivent bénéficier directement aux communautés locales. Il a cité notamment les mécanismes du Code minier de 2016, comme le Fonds d’appui au développement local et le Fonds de péréquation, destinés à renforcer les capacités des collectivités territoriales.
« Ces dispositifs traduisent la volonté ferme de l’État de faire du développement local un prolongement naturel de l’activité minière, et non une conséquence accessoire », a-t-il affirmé.
Le président Faye a aussi souligné la place essentielle des femmes dans les politiques minières, appelant à leur intégration dans les plans de développement locaux à travers des projets d’autonomisation économique.
À travers le SIM Sénégal 2025, le pays réaffirme son statut de pôle régional d’expertise et d’innovation dans les industries extractives.
L’événement rassemble plusieurs centaines d’acteurs publics et privés autour des enjeux de gouvernance des ressources, de valorisation locale et de transition écologique du secteur minier.
Pour le président Bassirou Diomaye Faye, cette 8ᵉ édition marque une nouvelle ère : celle d’une exploitation minière responsable, éthique et durable, au service du développement du Sénégal et de l’Afrique.
Devant des acteurs venus d’Afrique et du monde entier, le chef de l’État a rappelé que le développement du secteur minier doit être indissociable de la responsabilité environnementale, de la justice sociale et du respect des cadres légaux.
« J’appelle solennellement l’ensemble des entreprises du secteur à respecter les dispositions du Code minier, les normes environnementales, sociales et fiscales, ainsi que toutes les obligations contractuelles qui leur incombent », a déclaré le président Faye.
Selon lui, les sociétés minières doivent être perçues comme des partenaires du progrès national, et non comme de simples exploitants de ressources naturelles.
« Chaque gramme d’or, chaque tonne de phosphate, de zircon ou de minerais stratégiques doit contribuer à bâtir une économie robuste, créatrice d’emplois qualifiés et porteuse d’innovation », a-t-il insisté.
Bassirou Diomaye Faye a également réaffirmé la volonté du Sénégal de transformer son potentiel minier en levier industriel et technologique, à travers une valorisation accrue des ressources locales et le développement des compétences nationales.
Le chef de l’État a rappelé que les ressources minières appartiennent au peuple et doivent bénéficier directement aux communautés locales. Il a cité notamment les mécanismes du Code minier de 2016, comme le Fonds d’appui au développement local et le Fonds de péréquation, destinés à renforcer les capacités des collectivités territoriales.
« Ces dispositifs traduisent la volonté ferme de l’État de faire du développement local un prolongement naturel de l’activité minière, et non une conséquence accessoire », a-t-il affirmé.
Le président Faye a aussi souligné la place essentielle des femmes dans les politiques minières, appelant à leur intégration dans les plans de développement locaux à travers des projets d’autonomisation économique.
À travers le SIM Sénégal 2025, le pays réaffirme son statut de pôle régional d’expertise et d’innovation dans les industries extractives.
L’événement rassemble plusieurs centaines d’acteurs publics et privés autour des enjeux de gouvernance des ressources, de valorisation locale et de transition écologique du secteur minier.
Pour le président Bassirou Diomaye Faye, cette 8ᵉ édition marque une nouvelle ère : celle d’une exploitation minière responsable, éthique et durable, au service du développement du Sénégal et de l’Afrique.