Recentrer les secteurs stratégiques
Selon lui, plusieurs domaines clés doivent bénéficier d’un recentrage stratégique, à l’image de l’économie maritime qui représente plus de 3 % du PIB et 53 000 emplois directs :
« Il faut sortir de l’émiettement ministériel et organiser les infrastructures autour d’une approche plus globale et coordonnée », a-t-il plaidé.
Ce changement de cap vise à mieux structurer les politiques publiques et optimiser les ressources.
Justice : une priorité absolue
Mais pour Mamadou Abib Diop, le chantier le plus crucial reste celui de la justice.
Il a salué la nomination de Yassine Fall à la tête du ministère de la Justice, malgré les critiques de l’opposition :
« Le ministère de la Justice est éminemment politique. Le ministre applique la politique définie par le gouvernement, tout en respectant l’indépendance du pouvoir judiciaire », a-t-il affirmé.
Réformes en perspective
L’ancien conseiller stratégique et actuel secrétaire national adjoint chargé de la prospective au Pastef a également listé plusieurs réformes majeures à engager :
- Lutte contre la surpopulation carcérale (12 000 détenus pour 5 000 places)
- Digitalisation des services judiciaires
- Création du juge des libertés et de la détention
- Réforme du Conseil supérieur de la magistrature
Pour lui, ces réformes conditionnent le retour de la confiance des citoyens envers l’État et ses institutions.
Selon lui, plusieurs domaines clés doivent bénéficier d’un recentrage stratégique, à l’image de l’économie maritime qui représente plus de 3 % du PIB et 53 000 emplois directs :
« Il faut sortir de l’émiettement ministériel et organiser les infrastructures autour d’une approche plus globale et coordonnée », a-t-il plaidé.
Ce changement de cap vise à mieux structurer les politiques publiques et optimiser les ressources.
Justice : une priorité absolue
Mais pour Mamadou Abib Diop, le chantier le plus crucial reste celui de la justice.
Il a salué la nomination de Yassine Fall à la tête du ministère de la Justice, malgré les critiques de l’opposition :
« Le ministère de la Justice est éminemment politique. Le ministre applique la politique définie par le gouvernement, tout en respectant l’indépendance du pouvoir judiciaire », a-t-il affirmé.
Réformes en perspective
L’ancien conseiller stratégique et actuel secrétaire national adjoint chargé de la prospective au Pastef a également listé plusieurs réformes majeures à engager :
- Lutte contre la surpopulation carcérale (12 000 détenus pour 5 000 places)
- Digitalisation des services judiciaires
- Création du juge des libertés et de la détention
- Réforme du Conseil supérieur de la magistrature
Pour lui, ces réformes conditionnent le retour de la confiance des citoyens envers l’État et ses institutions.