Après Tambacounda, Kaolack et Kolda, le Cadre Intersyndical sectoriel de l’Économie Informelle, en partenariat avec la Fondation Friedrich Ebert, a poursuivi à Saint-Louis, du 4 au 6 novembre 2025, sa série d’activités de partage et de vulgarisation du document de plaidoyer en faveur d’une réforme plus équitable du Code du Travail.
Cette étape, marquée par des échanges constructifs entre les autorités locales, les acteurs de l’économie informelle et les parties prenantes institutionnelles, visait à renforcer l’appropriation territoriale du document et à encourager un engagement collectif pour une réforme juste et inclusive.
Le plaidoyer met en avant plusieurs priorités :
L’adoption d’un Code du Travail rénové, prenant en compte les spécificités du secteur informel et garantissant aux travailleurs les mêmes droits sociaux et conditions de travail décentes que dans le secteur formel ;
La mise en place d’un système de protection sociale durable, proportionné à la capacité contributive des unités économiques informelles ;
La réduction des inégalités, notamment de genre, à travers l’amélioration des conditions de travail, la rémunération équitable et un meilleur accès des femmes aux zones d’activités.
Les échanges ont également permis d’identifier des actions prioritaires et des mécanismes de suivi pour maintenir la mobilisation autour d’un Code du Travail qui reflète réellement les réalités de l’économie informelle sénégalaise.
Ce plaidoyer territorial s’inscrit dans une dynamique nationale de transformation structurelle du monde du travail, visant à garantir justice sociale, équité et inclusion économique.
Cette étape, marquée par des échanges constructifs entre les autorités locales, les acteurs de l’économie informelle et les parties prenantes institutionnelles, visait à renforcer l’appropriation territoriale du document et à encourager un engagement collectif pour une réforme juste et inclusive.
Le plaidoyer met en avant plusieurs priorités :
L’adoption d’un Code du Travail rénové, prenant en compte les spécificités du secteur informel et garantissant aux travailleurs les mêmes droits sociaux et conditions de travail décentes que dans le secteur formel ;
La mise en place d’un système de protection sociale durable, proportionné à la capacité contributive des unités économiques informelles ;
La réduction des inégalités, notamment de genre, à travers l’amélioration des conditions de travail, la rémunération équitable et un meilleur accès des femmes aux zones d’activités.
Les échanges ont également permis d’identifier des actions prioritaires et des mécanismes de suivi pour maintenir la mobilisation autour d’un Code du Travail qui reflète réellement les réalités de l’économie informelle sénégalaise.
Ce plaidoyer territorial s’inscrit dans une dynamique nationale de transformation structurelle du monde du travail, visant à garantir justice sociale, équité et inclusion économique.