Les parlementaires sénégalais ont activement pris part à cette initiative, qui a mis en avant les opportunités offertes par l’IA dans l’amélioration de la productivité et des services publics. Les débats ont également mis en garde contre les risques liés à la désinformation, aux menaces électorales et aux mutations du travail.
Au cours de l’atelier, les participants ont co-construit une « boîte à outils parlementaire » sur l’IA, alignée sur les priorités africaines et inspirée des meilleures pratiques internationales. Cet outil vise à guider la législation, renforcer le contrôle parlementaire et favoriser l’engagement citoyen.
Les discussions se sont articulées autour de thèmes majeurs tels que la souveraineté numérique et la gouvernance des données, les enjeux démocratiques (deepfakes, surveillance...), ainsi que les applications de l’IA dans la santé et l’agriculture, avec pour ambition d’accroître la productivité et de renforcer la résilience climatique.
Cet atelier illustre la volonté du Parlement panafricain de placer l’Afrique au centre des débats mondiaux sur l’IA, en conciliant innovation technologique et protection des droits démocratiques.
Au cours de l’atelier, les participants ont co-construit une « boîte à outils parlementaire » sur l’IA, alignée sur les priorités africaines et inspirée des meilleures pratiques internationales. Cet outil vise à guider la législation, renforcer le contrôle parlementaire et favoriser l’engagement citoyen.
Les discussions se sont articulées autour de thèmes majeurs tels que la souveraineté numérique et la gouvernance des données, les enjeux démocratiques (deepfakes, surveillance...), ainsi que les applications de l’IA dans la santé et l’agriculture, avec pour ambition d’accroître la productivité et de renforcer la résilience climatique.
Cet atelier illustre la volonté du Parlement panafricain de placer l’Afrique au centre des débats mondiaux sur l’IA, en conciliant innovation technologique et protection des droits démocratiques.