Un juriste au service du social
Amadou Bâ s’est d’abord illustré comme grand débatteur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar avant de poursuivre ses études à l’Université de Reims, en France. Pendant vingt ans, il consacre son énergie au social : accompagnement juridique des demandeurs d’asile, défense des droits des sans-abris, suivi des jeunes en insertion. Cette expérience l’a confronté aux inégalités internationales et a forgé sa vision d’un monde plus équitable.
« Cela m’a permis de comprendre toutes les difficultés de l’Afrique et des autres pays sous-développés. Les inégalités des relations internationales sont énormes », confie-t-il.
Le retour au pays et l’engagement politique
En 2011, il choisit de revenir au Sénégal, malgré les contraintes. Sa rencontre en 2015 avec Ousmane Sonko marque un tournant : « Je lui ai dit que j’allais monter Pastef à Thiès. Il m’a mis en relation avec Birame Souleye Diop. Nous avons installé les premières cellules et sillonné tous les départements. Ce fut dur au début, mais nous partagions les mêmes convictions », explique-t-il.
N’ayant jamais milité auparavant, son engagement au sein de Pastef traduit sa volonté de transformer ses convictions en actions concrètes. Aujourd’hui ministre de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme, il hérite d’un département stratégique où il pourra mettre son expérience et sa vision au service du rayonnement culturel et touristique du Sénégal.
Amadou Bâ s’est d’abord illustré comme grand débatteur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar avant de poursuivre ses études à l’Université de Reims, en France. Pendant vingt ans, il consacre son énergie au social : accompagnement juridique des demandeurs d’asile, défense des droits des sans-abris, suivi des jeunes en insertion. Cette expérience l’a confronté aux inégalités internationales et a forgé sa vision d’un monde plus équitable.
« Cela m’a permis de comprendre toutes les difficultés de l’Afrique et des autres pays sous-développés. Les inégalités des relations internationales sont énormes », confie-t-il.
Le retour au pays et l’engagement politique
En 2011, il choisit de revenir au Sénégal, malgré les contraintes. Sa rencontre en 2015 avec Ousmane Sonko marque un tournant : « Je lui ai dit que j’allais monter Pastef à Thiès. Il m’a mis en relation avec Birame Souleye Diop. Nous avons installé les premières cellules et sillonné tous les départements. Ce fut dur au début, mais nous partagions les mêmes convictions », explique-t-il.
N’ayant jamais milité auparavant, son engagement au sein de Pastef traduit sa volonté de transformer ses convictions en actions concrètes. Aujourd’hui ministre de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme, il hérite d’un département stratégique où il pourra mettre son expérience et sa vision au service du rayonnement culturel et touristique du Sénégal.