Dans sa déclaration de fin de mission, M. Gemayel a salué la résilience de l’économie sénégalaise, portée en 2025 par le démarrage de la production pétrolière et gazière et la reprise du secteur agricole. Le taux de croissance du PIB réel est estimé à 7,9 %, dont 3,4 % pour le secteur non-hydrocarbures, tandis que l’inflation devrait se limiter à 1,4 %.
Le FMI note que la performance budgétaire du pays reste globalement conforme aux prévisions, avec une réduction notable du déficit, passé de 13,4 % du PIB en 2024 à 7,8 % en 2025. Le projet de loi de finances 2026 prévoit de poursuivre cette tendance en ramenant le déficit à 5,4 % du PIB, grâce à une mobilisation accrue des recettes et une meilleure discipline des dépenses publiques.
Cependant, les services du FMI appellent à la prudence dans les hypothèses de rendement fiscal et à la préservation des investissements prioritaires pour maintenir la crédibilité budgétaire et soutenir la croissance.
Concernant la dette publique, estimée à 132 % du PIB, dont 4 % d’arriérés intérieurs, le FMI salue les efforts des autorités pour renforcer la gestion et la transparence, tout en soulignant la nécessité de finaliser les réformes liées à la dette cachée.
Le FMI a également félicité les autorités sénégalaises pour leur engagement en faveur de la transparence, de la gouvernance et de la discipline budgétaire, des piliers essentiels pour asseoir une croissance durable.
Au cours de son séjour, la mission a rencontré le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko, ainsi que plusieurs membres du gouvernement et représentants des institutions financières régionales et internationales.
Cette mission, marquée par des échanges qualifiés de « constructifs », a permis de poser les bases d’un futur programme économique soutenu par le FMI, qui devrait appuyer les réformes structurelles en cours au Sénégal.
Le FMI note que la performance budgétaire du pays reste globalement conforme aux prévisions, avec une réduction notable du déficit, passé de 13,4 % du PIB en 2024 à 7,8 % en 2025. Le projet de loi de finances 2026 prévoit de poursuivre cette tendance en ramenant le déficit à 5,4 % du PIB, grâce à une mobilisation accrue des recettes et une meilleure discipline des dépenses publiques.
Cependant, les services du FMI appellent à la prudence dans les hypothèses de rendement fiscal et à la préservation des investissements prioritaires pour maintenir la crédibilité budgétaire et soutenir la croissance.
Concernant la dette publique, estimée à 132 % du PIB, dont 4 % d’arriérés intérieurs, le FMI salue les efforts des autorités pour renforcer la gestion et la transparence, tout en soulignant la nécessité de finaliser les réformes liées à la dette cachée.
Le FMI a également félicité les autorités sénégalaises pour leur engagement en faveur de la transparence, de la gouvernance et de la discipline budgétaire, des piliers essentiels pour asseoir une croissance durable.
Au cours de son séjour, la mission a rencontré le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko, ainsi que plusieurs membres du gouvernement et représentants des institutions financières régionales et internationales.
Cette mission, marquée par des échanges qualifiés de « constructifs », a permis de poser les bases d’un futur programme économique soutenu par le FMI, qui devrait appuyer les réformes structurelles en cours au Sénégal.